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La filière bulgare 02 : L'enlèvement
Datte: 22/04/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Amusonsnous, Source: Hds
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Vendredi soir ! Quel délice ! Il fait 23°. La journée a été radieuse et le soleil descend lentement vers l’horizon. Trois semaines de vacances devant moi. À 22H00 je démarre pour rejoindre mon petit coin de paradis dans les Cévennes. Promenades à la carte d’Etat-Major, footing, repas digne de ce nom de Madame Mireille. La vie vaut la peine d’être vécue. Je quitte la grand-route et m’engage sur le chemin à voie unique qui ne désert que nos trois maisons perdues dans notre forêt. Encore 500 mètres. Tiens, deux voitures inconnues bloquent la route et semblent s’être accrochées. Je me gare sur l’herbe et demande aux deux dames si je peux les aider. - Oui. Merci Monsieur. Rien de grave mais nos pare-chocs sont imbriqués. Peut être qui si vous appuyez fortement sur une des voitures l’autre pourrait reculer sans dommages supplémentaires. Je regarde. C’est effectivement ce qu’il faut faire. J’invite la conductrice d’une des voitures à prendre place au volant et à reculer quand je le lui dirai. Je me penche pour appuyer sur l’aile de la voiture quand je sens une piqure d’insecte sur le cou ou niveau de la carotide. Je fais un geste pour chasser l’importun et quand je veux reprendre mon entreprise, la tête me tourne. Je prends appui sur la voiture. Je tombe et pense : « Fichtre ! Un choc allergique le jour de mon départ en vacances, c’est assez con. » Je sens que les dames me retiennent. Je ne me fais pas mal ...
... mais je sombre dans l’inconscience et la peur. Je me réveille. Ouf ! Je ne suis pas mort. Trop faible, je retombe dans le sommeil. Je me réveille à nouveau. Je lutte pour ne pas me rendormir. Je voudrais ouvrir les yeux mais je n’y arrive pas. Je veux les frotter avec mes mains et je me rends compte qu’elles sont attachées aux barreaux du lit. Je dois être à l’hôpital et ils ont dû m’attacher pour que je ne me fasse pas de mal pendant mon inconscience. Fatigué mais rassuré, je me laisse emporter par le sommeil. Je me réveille à nouveau. Je cherche le bouton d’appel. Rien. J’appelle. - Madame ! Monsieur ! Je suis réveillé. J’entend un pas féminin. Je reconnais une des automobilistes. - Vous avez été enlevé par O.G.I. ! - C’est une blague. Je suis bien réveillé. Vous pouvez me détacher. - O.G.I. signifie Organisation Gynarchique Internationale. Vous savez ce que Gynarchique signifie. - Oui. C’est une organisation du pouvoir où celui-ci est entièrement détenu par les femmes. - Vous allez être dressé et vendu comme esclave sexuel. Sur ce, elle me plante là avec mes interrogations. Peu de temps après deux femmes qui doivent faire 30 cm de plus que moi et une fois et demi mon poids entrent dans ma chambre. Des infirmières en psychiatrie ? Elles sortent des clés de leur poche et détachent mes menottes. Ouf ! La blague est terminée. - Fous-toi à poil ! - Pardon ? - A poil ou ont te déshabille ! J’hésite trop longtemps. Sur un simple ...