1. La filière bulgare 02 : L'enlèvement


    Datte: 22/04/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Amusonsnous, Source: Hds

    ... mouvement d’une des deux, il ne reste rien de ma chemise. Elle m’attrape ensuite avec une prise de lutteur que je n’ai pas vu venir et me voilà immobilisé. La deuxième détache ma ceinture, mon pantalon, tire celui-ci par le bas, attrape mon boxer qui s’émiette comme ma chemise. Elles me plaquent au sol, me tirent les mains derrière le dos et me menottent.
    
    Je suis relevé et emmené par les bras, sans ménagement. Nous descendons deux étages. Nous sommes dans un sous-sol en béton armé. Je suis poussé dans une cellule et jeté sur une couchette. Un anneau, fixé par une chaine très courte à la tête du lit, est passé autour de mon cou et verrouillé.
    
    Les brutes me relèvent les jambes et attachent celles-ci à des cordes fixées à la tête de la couchette.
    
    J’ai l’air bien malin le cul ouvert et les couilles ainsi offertes. Elles arrivent avec je ne sais quoi et le fixent autour de mes bourses puis attachent ce dispositif à une longue chaîne fixée au mur. Elles s’en vont en verrouillant la grille.
    
    Le temps passe et mon angoisse monte.
    
    Des bruits de pas. Trois femmes arrivent. Les deux brutes et une très belle rousse.
    
    - Tu t’appelle 190705. Je vais t’infliger une douleur que tu n’oublieras jamais. Tu vois ces pinces. Elles sont conçues pour enserrer les testicules et les presser. Les Allemands les utilisaient pendant la guerre. Personne ne résistait.
    
    Un coup de chaleur me frappe et je transpire terriblement.
    
    La rousse place chacune des pinces sur mes testicules et ...
    ... serre un coup. Je hurle d’une douleur non feinte.
    
    - Ok ! C’est bien en place.
    
    Je croyais que c’était fini, mais non.
    
    Lentement elle serre de plus en plus fort les pinces. Je crie aussi fort que je peux. Je ne peux pas bouger. La douleur irradie dans mon ventre. Je demande grâce. Je crois même que je pleure.
    
    Elle me regarde et continue. Je m’évanoui.
    
    Je me réveille. La douleur est toujours atroce. J’ai les mains et le cou libres. Je me lève pensant que quelques pas me feront du bien et j’avance vers la grille. A un mètre de celle-ci, je ressens une traction sur mes bourses. Je suis toujours attaché au mur par celles-ci.
    
    Peu après, la rousse revient.
    
    - C’est définitivement compris.
    
    - Oui.
    
    - Tu dis : « Oui ! Madame ! »
    
    - Oui Madame.
    
    - Comment t’appelles-tu ?
    
    - Dominique GAULTIER.
    
    - Tu t’appelles 190705 et tu seras puni pour cette faute.
    
    Elle s’en va. Putain. Dans quel délire je suis tombé.
    
    Environ vingt minutes plus tard, les deux brutes reviennent. Elles me passent les menottes, bras derrière le dos et détachent l’anneau fixé à mes bourses. Je suis saisi par les bras et poussé dans une salle qui ressemble à un gymnase. Elles m’enlèvent les menottes pour me fixer à d’autres menottes de suspension cette fois se trouvant au bout de câbles montant dans le noir. Mes couilles sont ensuite placées dans un ball-strecher qu’elles laissent pendant. Elles s’en vont et je reste environ dix minutes ainsi.
    
    La rousse fait son entrée. Elle est ...
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