Mon ami gynéco - 2
Datte: 25/10/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
médical,
fépilée,
caférestau,
voiture,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
rasage,
fgode,
fsodo,
confession,
initfh,
Auteur: Yonidouce, Source: Revebebe
... appareil photo.
— Eh ! Qu’est-ce que tu fais ?
— Tu le vois bien. Je veux des souvenirs de toi.
— Non, je ne veux pas de photos.
— Écoute Alanys, tu ne m’as pas attendu pour vivre et moi je n’ai pas eu besoin de toi non plus, alors si notre relation ne te convient pas, je ne te retiens pas !
Je suis KO ! Quelle claque ! Je suis incapable de réfléchir, de raisonner, de me lever et de le laisser avec ses réflexions de macho à deux francs. J’en suis incapable.
— Non, c’est pas ce que je voulais dire, c’est juste que j’aurais préféré…
— Eh bien moi, j’ai envie de photos de toi, mais encore une fois, je ne te force pas, tu peux t’en aller, je ne vais ni te violer, ni te forcer.
— Mais qu’est-ce que tu vas en faire ?
— Ne t’inquiète donc pas, tu me fais confiance, non ?
— Oui
— Alors laisse-toi faire.
Et je le laisse faire. Il me prend les jambes écartées par les étriers, le sexe occupé par un flacon d’un produit, et d’autres joyeusetés encore. Puis il me fait me rhabiller, prend encore quelques photos pendant que je m’habille mais m’interdit certains boutons. Il veut que ma poitrine et mon sexe soient prêts, soient près, soient à peine couverts. Je le laisse faire, de toute façon je vais monter dans ma voiture garée devant la porte, c’est pas méchant.
Il ouvre la porte. Je suis en manque, déçue. Nous n’avons pas fait l’amour et même si j’ai eu un petit orgasme alors qu’il me masturbait avec son flacon, ça n’avait rien de génial ! Mais bon, avec mon mari je ...
... ne jouis pas non plus à chaque coup (même si c’est bien rare que je sois « absente » mais cela m’est arrivé), alors ce doit être pareil avec un amant. Je m’apprête à l’embrasser et lui demander quand on se reverra, face à lui sur le pas de la porte, quand je le vois éteindre la lumière, sortir et fermer la porte derrière nous.
— Viens, on va boire un verre.
— Où ça ? (là je m’inquiète franchement car au moindre mouvement, je me dévoile vraiment.)
— Dans mon QG. Tu verras, c’est un endroit super sympa !
Il me prend la main, gentiment, tendrement même, mais avec une autorité naturelle que je n’ai plus envie d’affronter. Je le suis. Les pans de ma robe volent et je les retiens comme je peux de ma main libre. Il me regarde et d’un ton mi-sourire mi-fâché, et me dit :
— Tu sais, si je te demande de défaire un peu ta robe c’est pour que l’on puisse te voir pas pour t’embêter. Alors il faut jouer le jeu : pas de vent, tu n’auras qu’une impression ; le vent soulève ta robe alors que tu es seule, ton cœur accélérera ; et si par chance pour un passant le vent choisit le bon moment pour te taquiner alors tu goûteras aux joies de l’exhibition. Et tu verras, tu y prendras goût. Alors désormais, quand je te demande quelque chose, ne triche plus.
— D’accord !
« D’accord ! », comment ça « d’accord » ? Ça va pas ma grande ! Je ne suis pas d’accord du tout. Pourquoi est-ce que j’ai répondu cela ? Je ne retiens plus ma robe et en effet, je sens mon pouls accélérer. Heureusement ...