1. Mon ami gynéco - 2


    Datte: 25/10/2020, Catégories: fh, extracon, médical, fépilée, caférestau, voiture, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, fgode, fsodo, confession, initfh, Auteur: Yonidouce, Source: Revebebe

    ... couloir de l’immeuble, il me semble sentir une brise ma caresser le sexe. S’il y a le moindre souffle de vent dehors, je me fais embarquer par la police !
    
    Je marche rapidement jusqu’au magasin, il y a beaucoup de monde et je suis gênée comme jamais je ne l’ai été de ma vie (j’avais eu une petite expérience d’exhibition mais, nue sur une plage naturiste, je suis passée presque inaperçue).
    
    Horreur, le rayon « hygiène » est à l’étage. Je prends l’escalator. Quiconque se trouverait un peu en dessous de moi pourrait me découvrir. Enfin, c’est ce que je ressens. Je tiens le bas de ma robe nerveusement. Tout à l’heure mon cœur battait la chamade à l’idée de retrouver mon amant, là, mon cœur bat la chamade, mes jambes tremblent, je suis très mal à l’aise. Très mal à l’aise !
    
    Et bien sûr… deux jeunes me suivent. Forcément ils doivent avoir une vue dégagée. Je reste collée au bord pour limiter la vue mais l’un d’eux se baisse franchement pour regarder, sans honte aucune. Il n’y a aucune raison qu’ils puissent voir mes fesses ou mon sexe, comme il n’y aurait eu aucune raison qu’ils imaginent que je porte – ou non – des dessous affriolants. Alors pourquoi me matent-ils comme cela ? Malchance probablement ! Je garde ma main sur les pans de ma robe et ils ne verront rien.
    
    Je me dépêche d’aller au rayon qui m’intéresse. Les jeunes sont sur mes talons. Je prends un rasoir et lorsque je lève un bras pour saisir la bombe de gel l’un des jeunes passe une main sous ma robe, attrape ...
    ... mes fesses et tente de glisser plus loin.
    
    Je me retourne et le gifle violemment avant de rejoindre les caisses, payer pour retourner au plus vite au cabinet. Ils ne me suivent pas. Je marche dans cette rue bondée, à la merci d’un courant d’air crapuleux. J’ai l’impression qu’on me toise. Mon cœur va exploser. J’arrive enfin.
    
    Il y a du monde dans le cabinet et il me faudra attendre, et l’attente sera longue. Pendant presque une heure, assise à demi-nue, l’empreinte de la main du malotru encore chaude sur mes fesses et, à mon corps défendant, sur mon sexe en émoi que je sens ouvert et trempé… et rien pour arrêter ces fuites honteuses.
    
    Depuis mon départ du cabinet et mon escapade au magasin, nue sous ma courte robe, une sensation étrange est montée en moi, mélange de gêne, de honte et d’excitation. Pendant la séquence « magasin », il n’y a eu que gêne, vraiment. Pendant les premières minutes dans la salle d’attente également, puis mon cœur s’est calmé un peu, et je dois avouer qu’à présent, toute gênée que je sois, je suis terriblement excitée. Depuis une heure, dans le calme de la salle d’attente, j’ai apprivoisé mon état, ma presque nudité. Cela reste extrêmement étrange mais j’ai presque envie de dire « amusant ». Il reste une jeune femme avant moi et son mari (son amant ?) l’accompagne. Il me regarde de temps à autre, comme cela est inévitable quand on reste longtemps à attendre dans ces conditions. J’ai aimé ses regards, ses regards appuyés sur mes cuisses. J’avoue ...
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