1. L'ultime frontière


    Datte: 25/10/2020, Catégories: fh, jeunes, couple, bain, amour, noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, chaussures, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, init, Auteur: Alex4, Source: Revebebe

    ... et se retirer si la douleur devenait trop forte.
    
    La pression augmenta, puis diminua. Elle avait peur, quoi de plus logique. Mais elle recommença, se laissa lentement descendre jusqu’à ce que mon gland passe la première étape. Elle s’arrêta de respirer pendant un temps qui me parut une éternité. Puis elle poussa un long gémissement, teinté de douleur mais aussi de plaisir.
    
    Je plaçai mes mains sur ses hanches, non pas pour pousser, mais pour la rassurer et l’accompagner dans ses mouvements. Elle s’assit un peu plus, je sentis mon membre s’enfoncer, centimètre par centimètre. C’était une sensation totalement nouvelle. La pression était forte, je sentais les contractions de ma Laure, c’était extraordinaire. Jamais je ne m’étais senti en elle à ce point. Elle entreprit des mouvements du bassin de plus en plus amples. Je finis par la pénétrer entièrement. Je sentais ses fesses toucher la base de ma verge. Elle gémissait, criait différemment. Je me doutais bien qu’elle avait mal, je voulais que l’expérience soit géniale pour elle aussi.
    
    — Ça va mon amour, lui demandai-je avec autant d’admiration que de passion ?
    — Ça fait mal, mais c’est bien aussi, c’est bizarre, continue, continue, doucement.
    
    En fait, c’était à elle de continuer car dans cette position, c’était elle qui contrôlait tout le mouvement.
    
    Dieu qu’elle était belle ! J’espère ne jamais oublier cette image et ce moment. Son dos luisait de sueur, ses cuisses se contractaient à chaque va-et-vient, modifiant ...
    ... le reflet de la petite lumière sur ses bas, ses gémissements longs et rauques me transportaient dans un autre monde. De ma main, j’atteignis sa petite toison noire et descendis jusqu’à son sexe ouvert et friand de caresses. Je caressai son petit bouton, ce qui transforma ses gémissements en cris.
    
    Soumis à un tel traitement, je ne pus résister que quelques minutes. Mon sexe était trop bien, si serré dans cet écrin si chaud. J’agrippai ses hanches pour être sûr que la pénétration serait maximale au moment où mon sperme jaillirait dans les entrailles de la femme que j’aimais. Je criai, ce qui m’arrivait très rarement, et fus pris quasiment de convulsions tant c’était fort.
    
    Les mouvements s’arrêtèrent. Nous restâmes dans cette position quelques minutes, le temps de récupérer notre souffle. Mais Laure n’avait pas joui. Il ne fallait pas rêver, c’était la première fois. J’étais déjà heureux d’avoir senti et entendu son plaisir. Mais je voulais qu’elle ait un orgasme, c’était le minimum que je pouvais faire pour elle après un tel moment.
    
    Je l’incitai à se lever. Ma verge sortit de son corps en lui arrachant un dernier soupir. Lorsqu’elle fut debout, je vis qu’un filet de liquide coulait entre ses fesses. Elle attrapa quelques mouchoirs et l’essuya devant moi, sans fausse pudeur, restant elle-même en tant que (jeune) femme déjà totalement consciente et maître de sa féminité et de sa sexualité.
    
    Je la couchai sur le lit et entrepris un cunnilingus aussi intense que ma langue ...
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