1. L'ultime frontière


    Datte: 25/10/2020, Catégories: fh, jeunes, couple, bain, amour, noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, chaussures, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, init, Auteur: Alex4, Source: Revebebe

    Laissez-moi revenir sur nos premiers mois ensemble, Laure et moi, et nos découvertes.
    
    Et laissez-moi vous décrire le cheminement qui nous a conduits à une forme de plaisir, certes standard dans les films pornographiques, mais tout à fait hors du commun pour un couple de dix-huit ans, il y a dix ans maintenant.
    
    Depuis nos débuts, six mois plus tôt, Laure et moi étions rapidement devenus dépendants du corps de l’autre. Elle était très à l’aise avec sa propre nudité, comme vous l’avez compris lors de mes premiers récits, et cela l’aidait sans aucun doute au moment d’essayer quelque chose de nouveau. Elle dormait toujours nue, été comme hiver, seule ou avec moi, se promenait en sous-vêtements durant des heures, parfois le sexe nu avec seulement une paire de bas, parfois avec uniquement une de mes chemises à peine boutonnée et tombant juste au-dessus de la naissance de ses splendides fesses.
    
    Cette aisance ne se manifestait pas que dans sa chambre. Elle s’amusait de voir ses copines et équipières de volley regarder à la dérobée ses petits suçons à l’intérieur des cuisses pendant les douches, … Ah oui, le volley … C’était sans doute dans ces vestiaires, pourtant exclusivement réservés aux joueuses, qu’elle prenait le plus de plaisir à s’exhiber.
    
    Régulièrement, même si nous ne devions pas nous voir, elle se rendait à l’entraînement avec dans son sac sa lingerie la plus sexy qu’elle enfilait délicatement à la sortie des douches. Elle prenait un malin plaisir à me le ...
    ... raconter, sachant que cela avait le don de me titiller au plus haut point. Je l’écoutais et l’imaginais attacher son porte-jarretelles devant toutes les autres filles qui en étaient encore aux collants. Je les imaginais scrutant, le plus discrètement possible, sa si petite chatte, ses lèvres nues et toujours gonflées. Cela ne lui attirait certes pas la sympathie, mais ce n’était pas ce qu’elle recherchait. Elle aimait susciter l’envie et la jalousie. Dans ce cas, la jalousie de ne pas oser ce qu’elle osait : être une femme sensuelle et sexuellement libérée à dix-huit ans à peine. Elle me racontait toujours cela d’un ton détaché, parfois même avec humour, mais elle savait dans quel état elle me mettait dans ces moments-là.
    
    Elle adorait me provoquer lorsque nous n’avions pas l’occasion de nous isoler. Je me souviens d’un jour où j’étais passé chez elle pour lui faire un rapide bisou avant de reprendre le train. Elle m’attendait comme convenu, vêtue d’un long et chaud manteau, nécessaire en ce mois de février. Arrivés sur le quai de la petite gare où nous devions nous séparer, elle ouvrit son manteau devant moi, dévoilant un petit ensemble culotte et soutien-gorge à balconnet jaune agrémenté de bas auto fixants couleur chair ! La surprise passée, mon érection fut fulgurante, mais je ne pouvais rien y faire et je fus contraint de l’abandonner comme cela. Je ne sais pas qui avait le plus envie de l’autre ce jour-là. Mais en faisant de la sorte, elle savait que, le lendemain, mon ...
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