1. Discothèque et ce qui s'ensuit


    Datte: 22/04/2018, Catégories: ff, fhh, fbi, jeunes, inconnu, nympho, boitenuit, Masturbation intermast, entreseins, facial, Oral 69, fgode, pénétratio, double, fsodo, Humour Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... pièce, roulant des fesses sous leurs regards toujours admirateurs. Ben, habillé, s’approcha de moi. Il pelota une dernière fois mes seins, sous mes yeux surpris. Je déposai un baiser sur sa joue.
    
    — À plus, lui dis-je seulement.
    — Salut, Charlene… Je t’attends, Fabien ?
    — Ouais, j’arrive…
    
    L’interpellé vint à son tour me faire une bise et me tapota les fesses en souriant, puis alla rejoindre son compère près de la porte de ma loge.
    
    — Ciao ! me fit Fabien. T’hésites pas, hein ?
    — Oui, rigolai-je.
    
    Ils ouvrirent et sortirent dans le couloir ; je les accompagnai jusque sur le seuil de la porte, leur disant :
    
    — Bye bye ! Bonne nuit !
    
    Ils se retournèrent pour m’adresser un dernier clin d’œil, à l’instant même où une voix pénible s’éleva derrière moi :
    
    — Putain ! J’hallucine ! T’es une chienne, en fait…
    
    C’était évidemment Cindy, qui avait évidemment choisi pile cet instant pour rejoindre sa loge évidemment voisine de la mienne. Et j’étais évidemment toujours nue, bêtement devant elle. Elle me regarda de haut en bas avec insistance, puis commença de tapoter le code de sa chambre. Je cherchai une connerie à lui répondre pour la faire chier :
    
    — Ils étaient pas mal, tes deux gars, Cindy… Merci bien !
    
    Et je rentrai en claquant la porte derrière moi. Je l’entendis vaguement beugler quelque chose que je ne compris pas, puis sa porte claqua aussi. J’attendis quelques secondes pour ressortir ; je voulais aller voir si Audrey était rentrée. Toujours nue ...
    ... (j’avais la flemme de remettre quelque chose, et puis, au point où j’en étais…), je retournai dans le couloir pour aller frapper discrètement à la loge voisine de ma copine.
    
    Mais un vilain gloussement se fit entendre et je devinai que je ne serais peut-être pas la bienvenue. J’allais repartir vers ma chambre, d’autant que résonnaient des voix à l’autre bout du couloir, mais la porte s’ouvrit et Audrey passa sa tête dans l’encadrement.
    
    — Ah, c’est toi… dit-elle, m’apercevant. Et toute nue dans le couloir ?
    
    Je haussai les épaules et lui adressai un sourire désarmé.
    
    — Entre vite !
    
    Elle ouvrit un peu plus grand la porte. Elle aussi était nue. J’entrai ; elle referma. Dans la banquette en vrac, je découvris Tania, rieuse et les joues toutes rouges, qui se cachait vaguement sous les draps.
    
    — Alors ? Ça y est ? Tu as fini ? me fit Audrey. Vous en faisiez du ramdam à côté…
    — C’est vrai ? Ça s’entendait ? demandai-je innocemment.
    — C’est le moins qu’on puisse dire… Et alors ? C’était bien ?
    — Royal ! soupirai-je en m’étirant les bras tendus. Et vous ?
    
    Tania fit une moue exténuée.
    
    — Et c’est pas fini… dit savamment Audrey. Tu viens ?
    
    Elle attendait apparemment ma réponse.
    
    — Euh, non… je crois que ça va, là…
    — Bon, ben, reste…
    
    Et elle alla s’installer sous les draps près de Tania dans le lit ; celle-ci se mit soudain à rire nerveusement en me regardant.
    
    — Il y a de la place, dans ces lits… finit-elle par me dire, candide. On peut tenir à trois…
    
    Je ...