1. Discothèque et ce qui s'ensuit


    Datte: 22/04/2018, Catégories: ff, fhh, fbi, jeunes, inconnu, nympho, boitenuit, Masturbation intermast, entreseins, facial, Oral 69, fgode, pénétratio, double, fsodo, Humour Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... moi, je leur criai :
    
    — Allez-y ! Défoncez-moi ! Montrez-moi ce que vous savez faire !
    
    Ils me prirent au mot et se mirent, autant que leur position le leur permettait, à me "défoncer" de toutes leurs forces. Et je me mis à hurler à chacun de leurs coups de bassin tantôt simultanés et tantôt désynchronisés. Eux gueulaient aussi en enfonçant leurs sexes au plus profond de mon corps.
    
    Ben leva les bras pour les refermer sur mes seins et comme il m’attirait vers lui en me pelotant avec force, je me laissai littéralement tomber sur lui, mon dos contre son torse et ma tête sur son épaule. Et mes mains libérées, je pus accompagner de vives caresses sur mon clitoris durci comme jamais les violents coups que Fabien m’imprimait en tenant levés mes genoux ouverts. Je criai d’un plaisir d’une rare violence en essayant de savourer chacune des secondes intenses que m’offraient mes partenaires bestiaux.
    
    Mais je ne tardai pas à jouir furieusement dans un long geignement et une ultime crispation, tandis qu’eux continuaient de me défoncer à toute allure. Et quand je m’effondrai bientôt, rassérénée et parfaitement décontractée, ce fut pour savourer encore quelques longues minutes d’un plaisir très différent les va-et-vient brutaux qu’ils effectuaient toujours dans mon corps désormais presque inerte, mais toujours sensible.
    
    Et Fabien, hurlant à son tour, s’immobilisa une seconde au fond de mon sexe, crispé, puis m’asséna deux ou trois ultimes soubresauts extatiques et libérateurs ...
    ... en ahanant par saccades. Il se retira de mon corps que secouaient toujours les déhanchements difficiles de Ben. Je me laissai tomber sur le côté pour me mettre à quatre pattes à côté de celui-ci, les fesses bien levées. En un bond, il fut agenouillé derrière moi et revint me sodomiser avec brutalité, en grognant, pour un court instant avant de jouir à son tour au fond de mes fesses dans un ultime râle de plaisir. Puis il s’écroula lourdement sur la banquette derrière moi ; je m’y laissai aussi tomber à plat ventre ; Fabien était allé lui s’effondrer sur le fauteuil en face du lit. Je soupirai en fermant les yeux.
    
    Mais ayant peur de m’endormir, je me relevai bien vite. Je jetai un coup d’œil vers l’horloge qui indiquait, moqueuse, deux heures et demie passées. Je repris mon ton espiègle pour m’adresser à mes deux partenaires :
    
    — Bon, ben, les gars, merci bien ! À plus tard ?
    — J’hallucine ! rigola Ben. Elle nous jette comme des malpropres !
    — Ben oui, continuai-je en riant, maintenant que vous êtes vides…
    — Ah, la vache ! fit Fabien. T’es vraiment une sacrée salope bien chaude…
    — J’imagine que c’est un compliment ?
    — Tu restes là toute la semaine ? demanda Ben.
    — Laisse tomber ! C’est moi qui décide qui me baise, et où, et quand !
    — Ben en tout cas, t’hésites pas à m’appeler quand t’as besoin… conclut-il en se levant.
    
    Il alla ramasser ses fringues et les repassa lentement. Fabien se leva dans un effort et l’imita bientôt. Je restai nue, à tourner en rond dans la ...