1. Colocation très hot (7)


    Datte: 22/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... m’habite, ma respiration devient haletante, mon regard se trouble, rivé sur le magnifique pieu, mes lèvres, entrouvertes, témoignent de l’envie que j’ai de le sucer. Régulièrement à présent, l’énorme gland vient à la rencontre de nos bouches béantes qui se sont rapprochées, visiblement tentées de happer la verge tendue, excitées au plus au point. Mais Dory me devance :
    
    — Je peux la sucer ?
    
    — Oh oui ! Vas-y, ma chérie, pompe-la, elle n’attend que ça ! lui répond Claude, donnant un ample mouvement du bassin en avant pour présenter d’un coup l’énorme pal contre les lèvres humides de Dory.
    
    Le cœur battant, je vois alors le gland congestionné entrer dans la bouche gourmande de ma concurrente ! Plus rien n’existe maintenant pour elle ! Sans retenue, elle s’efforce de faire disparaître le plus possible de la belle queue toujours prisonnière de nos mains dans sa gorge. Plus rien ne compte, semble-t-il, pour elle, que ce plaisir qu’elle prend à s’enfoncer profondément la bite gonflée. Sa bouche, maintenant distendue, s’efforce d’en avaler le plus possible, dans un bruit de succion de plus en plus sonore, mais sa bouche n’arrive à en saisir que quelques malheureux centimètres en dessous du gland. Elle le libère pour reprendre son souffle :
    
    — Qu’elle est bonne ! Qu’elle est grosse ! Je ne peux en goûter que la gueule !
    
    — A toi maintenant Lee ! Ordonne Claude en donnant un coup de reins pour porter son gland à l’approche de mes lèvres luisantes, les ...
    ... effleurant.
    
    L’excitation m’emportant, j’agrippe son sexe géant de mes deux mains pour faire des allers-retours sur cette verge monstrueuse aux veines saillantes... Je mets ma bouche autour de son gland et arrive avec d’énormes difficultés à le gober en entier sans oser franchir le Rubicon. À vrai dire, j’en suis déjà assez fière, vu la grosseur de la tête de cet engin, ne pouvant aller plus loin. Je m’évertue sur le chapeau violet, mais ce n’est visiblement pas assez pour lui. Frustré, après une minute d’attente, il met ses mains sur ma tête et pousse le plus loin possible sa verge, jusqu’à ce que son gland bute au fond de ma gorge. Je crois défaillir, j’étouffe et ai des haut-le-cœur, me retenant de mordre à pleines dents dedans. J’ai peur qu’il m’ait décroché la mâchoire.
    
    Pendant un temps infini, nous nous relayons sur ce pic que nous n’arrivons pas à faire cracher.
    
    Soudain, Claude nous repousse et se masturbe avec énergie devant nous. Le gros nœud est luisant, splendide et triomphant. Un filet blanc ténu s’échappe de son extrémité. Il explose enfin en un geyser de foutre dont les retombées recouvrent nos hauts ainsi que le cou et le visage des bienheureuses victimes consentantes que nous sommes qui en font leur régal, ouvrant notre bouche très large pour recueillir le précieux nectar.
    
    Comment peut-il encore expulser autant de foutre après toutes ses éjaculations précédentes ?
    
    — Bien les filles ! J’ai gagné mon pari ! Et se tournant vers nous. -Le cours est fini pour aujourd’hui, ...