1. Colocation très hot (7)


    Datte: 22/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    UNE COLOCATION TRES CHAUDE. 7
    
    Je prends la main de Dory avec douceur et la pose sur ma verge, j’ouvre ses doigts et les referme sur ma verge flasque.
    
    — Mets ta main à côté de celle de Dory.
    
    Elle hésite à peine et m’obéit.
    
    — Alors ?
    
    — Alors ? C’est chaud, c’est assez ferme et souple.
    
    — Un peu de bravoure, les filles ! Vous avez vu comment ont fait vos copines, essayez de réveiller la bête !
    
    — Mais, s’interroge Dory, tu as déjà bien donné et on n’arrivera jamais à...
    
    — Qui ne tente rien n’a rien, je lui rétorque, l’essayer c’est l’adopter.
    
    Suite :
    
    Je détaille les traits de Lee. Elle répond aimablement à mon regard. Elle a les yeux noirs en amande avec des paillettes dorées, dans un visage ovale à la peau veloutée, jaune. Une boucle noire tombe sur son front. Ses habits enveloppent très étroitement son corps et en soulignent ses formes. Elle est mince et musclée.
    
    Les deux jeunes femmes, d’une vingtaine d’années, sont vraiment mignonnes. Dory a la peau mate, de longs cheveux noirs de jais noués en une tresse qui lui arrive au milieu du dos et la peau très fine.
    
    Lee
    
    Je finis par le branler doucement avec ma douceur féminine, je n’ai jamais fait ça, mais je dois dire que ça me fait de l’effet. Il a passé ses bras autour de nos épaules. Mais sa main remonte doucement vers mon cou, je sens sa main, légère, empoigner délicatement ma nuque pour diriger ma bouche vers la sienne. Ma poitrine s’appuie contre son corps dénudé. Les battements de mon ...
    ... cœur s’accélèrent. Sa main glisse dans mon dos, et me presse de plus en plus fort contre lui. Contrairement à ce que je croyais, la verge de Claude reprend vie, sa bite splendide bien que pas encore complètement dressée grandit de centimètre en centimètre, elle semble avoir doublé de taille, ma petite main ne peut plus en faire le tour, la hampe est devenue plus grosse que mon poignet.
    
    Le plus impressionnant, c’est ce gland énorme, ce gros champignon qui coiffe cette matraque. Comme un automate, ma main s’active, non pas que j’aie envie de sexe, rien à voir, c’est autre chose, une expérience, de la curiosité, et certainement de la bêtise. Mes doigts fins s’enroulent autour de la hampe blanche, la soupèsent et commencent à la caresser. Quelle vision étrange que ces deux mains délicates de filles prudes glissant le long de ce sexe disproportionné, lourd, qui sous nos caresses, revient encore une fois à la vie, gonfle et grandit encore, se dressant doucement, fièrement, sur ce corps qui ne correspond pas à une telle chose.
    
    On étreint la grosse queue comme si on avait peur qu’elle disparaisse, que le miracle s’arrête, d’abord avec hésitation puis avec plus de détermination.
    
    Claude grogne de contentement.
    
    — Oh oui, c’est bien, allez-y franchement ! Branlez-moi mieux que ça !
    
    — Qu’elle est grosse et dure ! ajoute dans un souffle Dory.
    
    On s’active maintenant avec encore plus de vigueur. Nos deux mains courent sur l’incroyable colonne de chair. Un trouble profond ...
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