Une souris et des hommes
Datte: 22/10/2020,
Catégories:
fh,
fhhh,
couleurs,
vacances,
pénétratio,
Partouze / Groupe
init,
Auteur: ADaya, Source: Revebebe
... guetter l’éclosion ; c’est divin.
La suite n’est pas moins géniale : ils m’ont gratifiée d’un premier orgasme, un autre s’annonce… Je pense qu’ils s’en sont rendu compte. Ils me savent à leur merci et redoublent d’énergie. Ahmed s’empiffre pire que jamais, le groin dans mon marécage, et Ibrahim n’en finit pas de me téter l’un et l’autre à tel point que mes bouts sont gonflés et douloureux.
Fatal qu’après un tel traitement, les appendices sollicités par l’un et l’autre soient hypersensibles ; l’épreuve vire au supplice, un réel supplice où la souffrance l’emporte sur la jouissance : je ne peux simplement plus supporter qu’on touche mon clito ou l’un de mes tétons. Greg serait à l’ouvrage, je l’inviterais à cesser sur le champ puis à me couvrir pour me pénétrer sans manière ; j’en ai envie, terriblement envie. Greg ! Greg ! Grrr… Cela aurait dû être lui s’il n’avait pas été si con… Depuis combien de temps ne m’a-t-il pas fait une lichette ? Un an… Plus peut-être.
La vindicte n’est pas absente dans ma décision d’engager la suite. Il m’est loisible d’amener le visage du sumo à ma portée ; c’est à mon tour de m’emparer de ses lèvres et ce que je lui ai refusé, je le lui offre maintenant. J’expédie ma langue en éclaireuse. Il me laisse pénétrer ; nos langues s’apparient et luttent un moment, assez longtemps, puis je décide de me retirer. Je ne sais pas si j’ai aimé – pas tellement à vrai dire – et la référence à Greg est toujours là dans un coin de ma tête. J’ai des ...
... regrets de m’être embarquée dans cette aventure et mon désir est un peu tombé ; je suis pressée d’en finir.
— Prends-moi ! commandé-je au sumo.
Je n’ai pas pris la peine de jouer l’énamourée. L’idée d’en rester là m’a effleurée, mais je ne suis pas du genre à me défiler à mi-parcours.
Si je suis nue, lui ne l’est pas. L’exécution de mon injonction implique des préalables pendant lesquels survient une controverse à laquelle je ne comprends goutte, vu que je ne parle pas wolof. Le maître m’explique que son assistant veut me photographier et que lui ne veut pas.
— Juste ton clitoris, précise le fauteur de trouble.
Qu’a-t-il donc de si remarquable ? Je vérifie à l’aveugle : une boule gorgée de sang, bien ronde et très sensible jusqu’à en être douloureuse. Le prendre en photo ? Cela m’amuse plutôt ; pourquoi pas ? Pourvu que la chose reste anonyme.
— OK, mais fais en sorte qu’on ne voie pas mon visage.
Je n’ai pas du tout envie de retrouver ma bobine sur Facebook ou ailleurs. Sitôt dit, sitôt fait : les flashes crépitent ; je demande à voir. Plus porno, tu meurs ! On parle parfois de « moule » pour désigner le sexe féminin, je comprends pourquoi. Des photos d’une moule géante, béante et écarlate, parée d’une perle phénoménale, défilent sous mes yeux. Je sais : ordinairement, les perles sont associées avec les huîtres, pas avec les moules. Mais ma moule à moi est un hybride à part.
Pendant ce temps, Ibrahim a fini de se déshabiller ; on pressent le muscle sous la ...