saga africa (1)
Datte: 20/10/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: chloe23, Source: Xstory
... J’avais les yeux à la hauteur de sa ceinture, et j’avoue avoir eu une surprise très agréable lorsqu’il a ouvert son pantalon...
Je n’avais pas du tout apprécié la manière dont les choses s’étaient déroulées jusqu’à présent, mais la vue d’une superbe queue a toujours eu un effet instantané sur moi. Et comme beaucoup de femmes occidentales, je fantasme sur les énormes sexes attribués dans notre imaginaire aux hommes de couleur.
Il s’allongea sur le lit, et je pris sa verge dans ma main. Même si elle n’était pas vraiment en érection, sa taille était déjà intimidante.
Je m’assis au bord du lit pour caresser cette bite qui grossissait et durcissait lentement au creux de ma main. Elle n’en finissait pas de gonfler et de s’allonger, et je me demandais quelle serait sa taille lorsque je l’aurais excitée à son maximum. Bientôt, j’ai dû me servir de mes deux mains...
J’étais arrivé à mes fins : le type bandait maintenant comme un taureau. Une hampe impressionnante, parcourue de veines très apparentes, et un gland d’un rose foncé, que j’avais décalotté en le branlant. C’était sûrement le plus imposant sexe d’homme que je n’avais jamais vu.
Mais je ne pouvais m’empêcher de paniquer, en pensant à ce que j’endurerais si l’idée de me sodomiser le prenait !
Pour l’instant, ce n’était pas dans ses intentions. Il se releva, et m’obligea à m’agenouiller devant lui, sans avoir besoin de me brutaliser - en fait, j’imaginais ce qui allait suivre, et je n’y étais pas totalement ...
... hostile...
— Vas-y, suce-moi ! m’ordonna-t-il en prenant ma tête entre ses mains. Vu ce qu’on a trouvé dans tes bagages, ça devrait te plaire.
Je tenais toujours sa bite à deux mains, et je pris doucement le gland entre mes lèvres. Il avait dû prendre une douche avant de venir dans la pièce où j’étais prisonnière, car un parfum frais et agréable me chatouillait les narines.
Je libérais par moments son gland, pour l’exciter avec de petits coups de langue. Ça lui plaisait, si j’en croyais ses grognements sourds.
Puis mes lèvres descendirent sur la longue tige, mais j’étais incapable de la prendre en entier dans ma bouche.
C’était tout de même délicieux, et ce mec avait l’air d’être parti pour une longue séance de baise, vu la manière dont il se contrôlait.
Ma colère et mes craintes s’étaient un peu évanouies, et je ne pensais plus maintenant qu’à profiter aussi au maximum de ces instants de pur sexe. Je massais ses couilles tout en le suçant, et je sentais sa queue palpiter dans ma bouche. Et mon minou commençait à être inondé de cyprine.
J’étais complètement absorbée par cette fellation, lorsqu’un bruit me fit sursauter : un autre homme venait d’entrer.
C’était le flic qui avait découvert les godemichets dans mes bagages et, dans un nouveau réflexe stupide, je tentai de cacher mes seins... alors que tout le reste de mon corps s’offrait aux regards.
— Tu peux venir, Joseph, lui lança son chef. On ne s’était pas trompé, cette nana a l’air d’avoir le feu ...