saga africa (1)
Datte: 20/10/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: chloe23, Source: Xstory
... Vous ne savez pas que l’importation d’objets à caractère pornographique est interdite dans ce pays ? me demandèrent-ils sur un ton peu aimable.
Tous les passagers derrière moi me regardaient, et j’étais écarlate. Je bredouillais :
— Non, j’ignorais... Mais ce sont des objets personnels, je ne fais pas de commerce !
— Ça ne change rien. Suivez-nous.
Ils me conduisirent dans un bureau au fond de l’aéroport, au bout d’un dédale de couloirs, pendant que Carine, me voyant disparaître, se demandait ce qu’il se passait.
Ils m’enfermèrent dans une pièce sans fenêtre. Après une attente qui me parut interminable, une femme en uniforme entra, et elle m’ordonna :
— Nous devons vous fouiller. Déshabillez-vous entièrement !
Le ton ne tolérait pas de résistance. Je n’avais pas grand-chose à enlever... La policière ne me quittait pas des yeux, et j’enlevai ma robe, puis mes chaussures et mon minuscule string.
Une fois nue, elle glissa un doigt dans ma chatte, sans doute pour vérifier que je n’y cachais pas de la drogue ou je ne sais quoi. Je me sentais humiliée, mais je n’arrivais pas à trouver désagréables les mouvements des doigts de cette fille, fouillant mon intimité.
Elle insista plus de temps que nécessaire, et je me rendais compte que, malgré moi, je commençais à mouiller.
Puis elle prit mes vêtements, et quitta la pièce en me lançant :
— Restez ici, ne bougez pas. On viendra vous dire si on peut vous relâcher.
Je me demandais ce qu’il allait ...
... m’arriver, et je pensais à Carine, qui devait être folle d’inquiétude. Je me reprochais de ne pas avoir demandé pour lui téléphoner.
Les minutes s’égrenaient, interminables. Il faisait une chaleur étouffante dans cette pièce, et la sueur perlait sur tout mon corps.
Enfin, la porte s’ouvrit. Un homme noir en civil, athlétique, entra et dans un réflexe de pudeur (ce qui ne m’arrivait pas souvent) je cherchai à cacher ma nudité.
L’homme se présenta.
— Je suis le responsable de la police des frontières. Votre cas se présente mal : les infractions que vous avez commises sont très graves, au regard de nos lois.
— Mais ce que vous avez trouvé ne concerne que ma vie privée, m’exclamai-je.
— Ce n’est pas ainsi que nous voyons les choses ici, répliqua-t-il sèchement.
— Je connais des gens dans cette ville, laissez-moi téléphoner !
— Ça ne servirait à rien... Mais il y a un moyen de régler tout ça amiablement, ajouta-t-il sur un ton plus aimable.
Je commençais à me douter de ce qu’il allait me demander...
— Nous pouvons peut-être nous entendre. D’après ce que nous avons découvert dans vos bagages, vous faites partie de ces touristes étrangères obsédées par le sexe. Vous devriez donc être prête à régler en nature la forte amende que vous devez, et ça vous évitera la prison - qui n’est pas vraiment confortable ici.
En me parlant, il avait fait basculer un lit intégré dans un placard. Il m’a prise par la main, et m’a fait asseoir, pendant qu’il se déshabillait. ...