1. "Pharomones" bretonnes ou le miracle de Ste Cécile


    Datte: 22/04/2018, Catégories: f, fh, couple, vacances, plage, hotel, voyage, amour, dispute, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation Oral pénétratio, Humour Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... pâme sous la violence du plaisir. Je la sens au contraire baigner dans un plaisir intériorisé, qui ressemble plus à un monologue érotique qu’à un dialogue amoureux. Un plaisir néanmoins fort agréable, si j’en crois la manière dont elle profite de cet intermède sensuel, avant de reprendre presque sans transition ses caresses et ses baisers sur ma peau. Elle le fait avec beaucoup de légèreté, comme pour ne pas me déstabiliser, ne pas me laisser imaginer un quelconque reproche de sa part. J’en avais envie, l’occasion s’est présentée, n’en parlons plus.
    
    On en parlera d’autant moins qu’elle s’assied maintenant sur le lit. Une manière très habile de me laisser contempler sa nudité, sans pouvoir la toucher. Cadeau de consolation, elle continue à se laisser admirer tout en préparant ses affaires pour la journée, m’offrant le sillon de ses fesses écartées pendant qu’elle cherche d’une babiole dans sa valise, puis la cambrure de ses reins en s’étirant lascivement devant la fenêtre. Elle est superbe de désir et de séduction, sa démarche est féline comme jamais. Allongé dans le lit, une secousse parcourt ma queue à chaque découverte d’une autre facette de son anatomie. D’un léger sifflement, elle me confirme apprécier ma réaction, avant de disparaître à la salle de bain.
    
    Pendant que nous déjeunons, elle me fait part de son envie de plage. Ce qui en Bretagne, même en été, n’est pas une sinécure. Mais elle connaît un petit coin sublime, où elle tient à m’emmener avant la marée. ...
    ... Quand je supposais qu’elle avait tout prévu, je n’étais pas si loin de la réalité.
    
    Nous sommes pratiquement seuls sur l’immense étendue de sable. Au loin, les rouleaux déferlent, terriblement tentants, malgré la température assez basse de l’air. Je ne résiste pas, me déshabille et fonce vers la mer. Après un premier contact qui me paralyse de froid, je m’habitue et trouve même plaisir à lutter contre les vagues. Entre deux déferlantes, je me retourne pour voir où en est Cécile. Elle est restée loin en arrière, et se contente de m’observer, comme si elle hésitait entre deux envies.
    
    Finalement, elle s’avance, sa longue robe flottant autour de son corps. Ses mouvements sont harmonieux, elle est belle, désirable, elle a la démarche d’une femme amoureuse, qui s’avance vers l’élu de joutes dont elle imagine déjà l’issue avec délectation. Comme si elle voulait me montrer par cette approche ce qu’elle ressent pour moi tout au fond d’elle.
    
    Arrivée à portée de regard, là où elle sait que je pourrai distinguer chaque détail de son corps, elle laisse choir sa robe au sol d’un mouvement très sensuel, puis vient me rejoindre dans l’eau, entièrement nue. Ai-je jamais su regarder cette femme comme elle me pousse à le faire aujourd’hui ? Ai-je jamais su ressentir à quel point elle sait offrir son désir en même temps que ses charmes ? Ai-je jamais su comprendre à quel point tout ce qu’elle fait dans l’intimité appelle à l’amour, au plaisir, au partage absolu ?
    
    À nouveau elle sourit de ...
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