1. "Pharomones" bretonnes ou le miracle de Ste Cécile


    Datte: 22/04/2018, Catégories: f, fh, couple, vacances, plage, hotel, voyage, amour, dispute, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation Oral pénétratio, Humour Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... crispation ultime me rassure quelque peu, c’est au plaisir qu’elle s’est abandonnée, non au chagrin. J’ai été vraiment nul sur ce coup, mais je ne me sens pas assez en forme pour reprendre ma belle en mains. Je me contente de caresser doucement ses hanches, et de glisser une main sous son bras pour empaumer son sein, dont la pointe est encore dure. Je l’entends murmurer qu’elle m’aime, que ce n’est pas grave, que ce doit être l’effet aphrodisiaque des huîtres, qu’on se rattrapera demain.
    
    Je me réveille au petit matin, le nez dans sa nuque, ma main toujours légèrement posée sur sa poitrine. La sensation de sa pointe durcie au creux de ma paume traverse agréablement mon corps. Encore durcie ? À nouveau durcie ? Je me redresse et réalise qu’elle est déjà réveillée, souriante, détendue, sans doute en attente de mon retour plus actif dans la réalité de son désir. L’odeur qui émane d’elle fait immédiatement son effet, je me raidis, puis me cabre au moment où elle pousse ses fesses contre mon ventre. En quelques ondulations, elle me place à l’orée de sa fente, et m’incite à me faufiler dans son antre chaud et moite.
    
    Je me délecte des sensations qu’une lente pénétration fait naître sur ma pointe. Nous nous laissons tout le temps de nous déguster, de profiter du moindre frottement de nos muqueuses avides de plaisir. Nous retrouvons rapidement ce rythme délicieux qui nous fait monter en parallèle jusqu’au sommet du plaisir. Cécile s’ingénie à m’engloutir avec gourmandise, ...
    ... puis semble vouloir me bouter hors d’elle, pour mieux me reprendre l’instant suivant.
    
    Nous faisons l’amour simplement, en nous emboîtant l’un dans l’autre et en nous offrant tout ce que ces gestes élémentaires peuvent apporter de bien-être sensuel et érotique. Au moment où je sens sa respiration s’agiter, où le roulement de ses hanches se fait plus pressant, où ses muscles se bandent à la recherche du plaisir partagé, je me mets à la pénétrer de plus en plus profondément, de plus en plus vite, de plus en plus sauvagement. Elle m’encourage, me pousse à tout lui donner de moi, maintenant. Quelques coups de reins plus tard, je dépose en elle ce que je n’ai plus eu la force de lui offrir hier soir.
    
    Après quelques minutes de récupération, elle se retourne, souriante. Je me sens bien, presque fier d’avoir ainsi pu la combler. Jusqu’à ce que je l’entende murmurer « qu’elle a encore un petit creux ».
    
    — Tu veux qu’on aille déjeuner ?
    — Non, pas là le creux, un peu plus bas…
    — Comment ça ? Il m’avait pourtant semblé que tu avais… enfin, que nous avions, tous les deux… Pas toi ?
    — Presque.
    — Mais alors ces soupirs, ces gémissements, ces crispations que tu m’offres la nuit à la maison, ce n’est aussi que « presque » ?
    — Ben, parfois, oui… mais c’est pas grave, pas besoin de grimper aux rideaux à chaque fois. En plus, j’aime te sentir craquer pour moi.
    
    Je suis sonné. Il fallait ces vacances pour que je découvre à quel point je ne suis probablement pas assez performant ...
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