France Rurale 4
Datte: 19/10/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: PassifChaud, Source: Hds
... et profite du moment présent, laisse-moi me mettre près de toi. »
Je lui ai enlevé sa chemise, me mettant à nu moi aussi, le couvrant de caresses, de baisers, sur ses lèvres, sur tout son corps, effleurant à peine son sexe tendu à l’extrême jusqu’à atteindre sa poitrine. Je souhaitais d’abord lui offrir de la tendresse, libre à lui d’en rester là. Ma mains et mes doigts l’ont ensuite caressé, partant de ses bourses étalées entre ses cuisses, le parcourant de toute sa longueur, pour enserrer son gland et le prendre dans ma bouche.
« Il est si beau Michel, si majestueux, un sceptre digne de l’homme splendide que tu es. Tu dois en être fier, et non pas honteux. »
« Encore faut-il qu’il soit… comment dire… utilisable… Ce qui n’a jamais été le cas jusqu’à présent. Je crois que je devrais me résoudre aux vaches, comme on me l’a dit si méchamment, quelle horreur… !!! »
« Michel, je vais te dire une chose, si tu me le permets et si tu me fais confiance. »
« Je t’écoute »
« Pour une personne qui se fait pénétrer, que ce soit une femme ou un homme, c’est dans la tête que ça se passe en premier. Si elle ne se sent pas bien, si le désir n’est pas présent, quelle que soit la taille du sexe, petit ou gros, l’accouplement lui fera mal, très mal, et elle le subira, que ce soit dans un vagin ou dans un anus »
« Pas sûr ça…. La taille compte pour beaucoup, beaucoup trop pour moi… »
« C’est vrai, tu as raison. Mais tu sous-estimes un simple détail. Quand celui ou celle ...
... qui se fait prendre, si son envie est profonde, alors ses orifices se préparent, psychologiquement à en accueillir le membre » Je n’avais rien inventé, c’était mon frère, bien plus érudit que moi qui m’avait appris ça, sans doute pour me préparer à mieux m’enculer.
« J’y crois pas trop… !!! »
« Tu en veux la preuve ? »
Alors, je l’ai enjambé, frottant mes lèvres humides de la semence de son père, et je me suis appuyé sur son menhir qui se dressait aussi fièrement que lorsqu’il supporte un dolmen. Mais mains sur son torse velu, les siennes sur mes hanches, ce coït infernal a débuté, mon anneau dilaté par mes copulations précédentes, empli de cette sève si riche comme le meilleur des lubrifiants, a accepté l’intrusion de ce tronc de chair, s’ouvrant encore davantage sous l’effet de son épaisseur de plus en plus ample, jusqu’à atteindre le maximum de mes capacités. Il en restait toutefois un bon quart dehors, je ne pouvais pas aller plus loin pour cette première fois avec lui.
Michel est resté un instant immobile dans moi et a commencé lentement, des mouvements de va et vient. Je hurlais…. De douleur et de plaisir… Toute la maisonnée devait entendre mes cris, surtout lorsque Michel a pu, pour la première fois, lâcher toute sa jouissance dans un réceptacle qu’il avait enfin pu posséder. Il m’avait donné faim de lui, comme j’avais faim de Jean et de Pierre.
J’ai été sa « femme » encore trois fois cette nuit-là, et à la dernière reprise, il a pu enfin s’introduire en ...