France Rurale 4
Datte: 19/10/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: PassifChaud, Source: Hds
... et la perspective de son corps massif sur moi, de son vit impressionnant dans mon antre me réjouissait d’avance. Ce monstre de virilité m’attendait, quasi nu sur le lit, dans toute sa puissance, ses effluves masculines embaumant la pièce, le morceau central, déjà tendu, émergeait à moitié hors de son slip (Slip Kangourou comme on dirait maintenant). Je devenais plus entreprenant maintenant, toute honte avait disparu, tant toutes leurs attentions me touchaient et me rassuraient. J’avais la sensation à présent, de ne pas être une pute qui donnait son cul, mais un quasi-membre de la famille qui partageait leur vie, au travail, aux repas et dans leurs lits.
Comme à son habitude, il m’a défoncé de ses assauts vigoureux, prenant possession de moi avec son énergie hors du commun, mais en y rajoutant beaucoup de tendresse aussi, comme si j’étais le « substitut » de Thérèse qu’il aimait tant. Sa fierté de mâle était encore exacerbée lorsqu’il voyait que j’y prenais un réel plaisir, que je partageais avec autant de fougue que la sienne. Les dames de petite vertu du bordel, (Je rappelle qu’ils n’ont été abolis qu’en 1946, suite à la Loi Marthe Richard) se contentant de subir, d’une manière plus ou moins feinte, dans l’attente du client suivant, et les donzelles culbutées dans les champs espéraient davantage se faire engrosser pour pouvoir profiter de la « richesse » de la famille.
Toutefois, ce soir-là, sa pénétration était un peu différente, plus ample, plus profonde, tournant ...
... son pieu comme s’il voulait élargir davantage mon orifice, éjaculant une première fois bien au fond de moi, et pour la seconde, juste à l’entrée.
« Tu veux bien aller rejoindre Michel maintenant Marc ? Je crois qu’il a trop besoin de câlins lui aussi. Peut-être que ta présence et quelques baisers de ta part vont le faire un peu sortir de sa réserve. »
« Il ne sera pas surpris de me voir débarquer comme ça ? »
« Non, je ne pense pas… Il ne me l’a pas dit… Il ne dit jamais rien, mais je suis sûr qu’il t’aime bien. »
Revêtu d’une simple liquette, assez courte, j’ai rejoint sa chambre, toquant à sa porte, et après avoir entendu un faible « oui », je suis entré. Il était allongé sur son lit, à moitié endormi, portant une ample chemise de nuit et je me suis allongé à ses côtés.
« J’avais envie de dormir avec toi, Michel… Tu ne m’en veux pas ? Je peux repartir si ça te gêne. » Si ma chambre n’était pas encore tout à fait prête, il y avait quand même un vieux lit en fer, qui allait être changé bientôt où je pouvais y dormir.
« Non… Reste… Je suis trop content… Je ne te fais pas peur alors… !!! »
« Peur ??? mais pourquoi ça… ? »
« Ben…. Tu as vu dans la grange, non ? »
« Michel…. Tu es très beau… Tu as un sourire magnifique, même si tu ne le montres que rarement… Ne pense pas tout le temps à ce qui te complexe, mais à l’homme splendide que tu es… promis ? »
« Toi aussi tu es beau Marc, et si gentil, je me sens bien avec toi. »
« Alors…. Laisse-toi vivre ...