Jalouse de lui (2) - Histoires de Sexe

Jalouse de lui (2)

... c’est bon je suis ta soeur et puis c’est mes culottes, tu peux me montrer !"

Après quelques secondes d’hésitation, Il accepta.

Cette naiveté en lui le perdra un jour c’est certain.

Il fit tomber la serviette à ses pieds, j’apercevais cette fois-ci avec une plus grande précision ce petit pénis en face de moi, pas très longtemps car il enfilait déjà la culotte.

La dentelle transparente laissait passer quelques poils de sa toison brune mais cachait son membre, ce qu’il ne remarquait même pas apparement.

— "J’avoue qu’on est plutôt bien dedans, c’est doux, toi aussi tu portes la même matière ?"

Ne ratant pas l’occasion, je répondais du tac au tac :

— "Oui, tu veux la voir ?"

— "Au point où on en est ..."

Je faisais tomber ma robe et je lui montrais un tanga, bien plus grand en taille, en dentelle également et rouge.

— "Pas maaaal !"

La situation commençait vraiment à me plaire et apparement à lui aussi.

En effet, la jupe étant tombée, j’étais également en soutien-gorge assorti à la culotte, mon 95E sous son nez, probablement la première fois qu’il voyait des seins d’aussi près.

Voyant mon regard, il se sentait obligé de dire un mot :

— "Ils sont vraiment ... gros".

— "On dirait que tu n’en as jamais aperçu étant donné ta réaction Antoine".

— "Et bien ..."

J’attrapa sa main et la posa sur mon sein ...

... droit, par dessus le soutien-gorge et son visage vira au cramoisi, il se laissait faire et sous la gêne et la honte de toucher sa soeur de cette manière, je sentais bien de l’excitation.

L’excitation n’était pas que dans sa tête mais se matérialisait au niveau de son entrejambe, une toute petite bosse se formait sous la dentelle.

— "Et ba alors ! Tu bandes !"

— "C’est pas ce que tu crois Dori !"

Je m’accroupis doucement, mon visage faisait face à la culotte.

— "Mais qu’est ce que tu fais ?!"

La toison brune laissant passer son sexe en érection, une érection peu simple à découvrir étant donné la finesse et la longueur très courte de l’"engin" d’Antoine.

A vue de nez, il mesurait environ 10 à 11 centimètres, pour 4 centimètres de large, une petite saucisse knacki, remonté, le gland en l’air qui poussait le tissu de la culotte.

Je déposa un baiser sur le tissu, touchant quelques millimètres de peau, suffisant pour qu’il ressente une décharge dans tout son corps et que ses poils se hérissent.

— "Mais t’es malade !"

— "Regarde comment tu bandes devant ta soeur, tu es sûre que c’est moi la malade ?"

— "Allez, retourne toi, que je t’admire dans cette petite merveille"

J’entendais quelques "grr" d’insatisfaction mais il joua le jeu et pivota sur lui même, me laissant nez à nez avec cette paire de fesses à tomber par terre ...