Estelle
Datte: 22/04/2018,
Catégories:
fh,
fffh,
hotel,
préservati,
pénétratio,
Humour
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... encore que nous fassions l’amour, mais j’en suis parfaitement incapable ; seulement, elle met Bazouk à contribution, et celui-ci m’octroie une érection fantastique, qui continue même après nos ébats. Je finis la nuit avec Pandore et Azura.
Résumé de l’épisode 8 : Nous revenons finalement chez moi, pour que je rassemble quelques affaires avant de partir ; en effet, notre décision est prise : nous irons profiter de notre fric quelque part au soleil, loin d’ici. Chez moi, on prend un peu de bon temps pendant que Bazouk prépare à manger. Mais nous sommes interrompus par une nouvelle tournée de flics qui s’interrogent sur la présence dans le jardin des corps inanimés de leurs collègues. Nous parvenons quand même à nous débarrasser de ces nouveaux gêneurs. Aurélie, malgré mes mises en garde, se met alors en tête de réclamer à Bazouk une nouvelle poitrine. Celui-ci fait un certain nombre d’essais sur les policiers endormis, puis un certain autre nombre sur la pauvre Aurélie, avant de parvenir enfin à un résultat acceptable. Nous nous empressons d’essayer les nouveaux attributs de ma compagne…
Le voyage jusqu’à Paris se passa sans histoire. On n’était finalement parti qu’aux environs de vingt heures, le temps de s’éclater un peu après manger, et puis celui de rassembler toutes les affaires. Nous avions réussi à bourrer tous les billets de cinquante euros et de cent dollars dans un seul grand sac de sport, et avions également chargé deux autres sacs de fringues dans le petit ...
... coffre. Et pour plus de sécurité, nous avions « débranché » Bazouk et simplement mis sa théière aux pieds d’Aurélie, à l’avant du splendide coupé noir.
La voiture avait montré toute sa puissance et sa reprise sur l’autoroute où j’avais roulé à largement plus de deux cents à l’heure (le tout toujours avec la gaule démente dont m’avait pourvu Bazouk et qui ne passait désespérément pas…). On avait été flashé deux ou trois fois, mais je m’en foutais, les plaques étaient bidons. Et au péage, alors que je m’étais attendu à devoir faire ressortir Bazouk pour endormir les gêneurs éventuels, curieusement, aucun policier ne nous attendait, et on passa tranquillement grâce à la carte bancaire d’Aurélie.
J’avais encore roulé comme un furieux sur les larges routes, peu fréquentées à cette heure tardive, qui menaient du sud de la capitale jusqu’aux abords du grand aéroport de Roissy. Une voiture de flics nous prit un instant en chasse, mais je parvins même à la semer. Je m’inquiétai toutefois quelque peu lorsqu’on vit se pointer un hélicoptère qui avait l’air de nous surveiller, mais on profita d’un tunnel pour faire ressortir Bazouk qui se plut à colorer la voiture en vert pomme et à lui ajouter une sorte d’étage supplémentaire, la transformant ainsi plus ou moins en estafette de course. Et j’attendis le passage de quelques autres véhicules pour ressortir du souterrain en roulant comme une mémé revenant de la messe. Et cela suffit apparemment à tromper la vigilance des flics aériens et ...