La Gestionnaire (18)
Datte: 22/04/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... tige fatiguée. Aussitôt, elle recommence ses caresses avec sa langue sur le gland sensible. Elle me crache. Mon sexe tombe sur ma cuisse. Elle me jette un œil malicieux et me dit :
— Epongé, vidé,...
— Salope, adorable salope...
— Range ta saucisse vide...
A genoux au-dessus de moi, elle rigole. Elle se laisse tomber sur moi et me viole la bouche. Un baiser violent, hardant, brutal, sauvage. Je la serre entre mes bras. Nous nous câlinons emmêlés l’un dans l’autre.
Quelques instants plus tard, elle se redresse, un regard interrogateur et inquiet se plonge dans mon regard.
— Ce n’est pas vrai... ne me dis pas que tu...
— Si, je bande de nouveau...
— Obsédé...
Je la retourne sur le dos, et j’écartèle. Je pointe mon gland qui après quelques minutes de repos a retrouvé toute sa vigueur. Je pénètre son sexe béant. Je reste au bord de l’antre humide. Par de petits va-et-vient, j’excite les muqueuses. Andréa réagit immédiatement. Elle mugit, elle crie, elle beugle son plaisir. Elle jouit bruyamment, puis retombe, les bras en croix sur le lit. Je continue mon manège, essayant de refaire naître le désir. Elle me regarde puis d’un coup de reins brusque, me rejette. Elle se positionne en levrette, les fesses hautes tendues et offertes.
— Vas-y, prends-moi comme ça... n’aie pas peur d’être puissant et fort.
Je pose mon gland sur les lèvres épaisses et gluantes de mouille. Je pousse d’un coup fort et bute au fond du sexe. Andréa ne peut pas retenir un cri ...
... de douleur.
— Aie ! Salaud... tu es une brute... mais j’aime ça... c’est très bon.
Je la pilonne pendant un bon quart d’heure. Andréa jouit sans cesse. Puis sans prévenir elle m’adresse la parole :
— Encule-moi... encule-la, cette salope... oui bourre-moi le cul... traite-moi de salope j’adore ça...
Andréa m’offre son cul. Je plie mes genoux et présente mon gland devant l’anus de la jeune femme. Elle attrape le sexe et la glissa entre ses fesses. Je pousse une fois et entre comme dans du beurre. Andréa étouffe un cri en mordant l’oreiller. Puis je commence ma sarabande, elle commence à débiter des insanités :
— Défonce-moi le cul, enfile-la jusqu’aux couilles ta grosse bite et traite-moi de salope !
Surpris par la demande, je pilonne le cul offert et, à partir de ce moment-là, je me lâche complètement. Je l’insulte. Plus je l’insulte, plus je la traite de salope de traînée de garages à bites,... plus elle hurle de plaisir. Andréa n’arrête pas de jouir. L’apogée de son orgasme arrive lorsque je décharge dans son cul de grosses giclées de sperme. Elle rue du cul pour faciliter mes ruades. Mes couilles tapent et claquent contre ses fesses. Je ne peux pas entrer plus en elle. Elle hurle son plaisir. Je m’écroule sur son dos. Elle ne peut pas tenir et elle aussi elle s’effondre à plat ventre. Nous partons d’un grand rire et nous nous enlaçons. Un baiser et nous sombrons dans le sommeil.
Le lendemain, Nancy prépare le petit-déjeuner lorsque nous sortons de la ...