1. La Gestionnaire (18)


    Datte: 22/04/2018, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    ... encore plus ses jambes pour que mes baisers se déposent à l’intérieur de ses cuisses. Andréa se tord de désir. Elle n’est que soupirs et humidité.
    
    Mes lèvres remontent toujours pendant que mes mains prennent possession de mes fesses. Ma bouche quitte ses cuisses. Elle monte dans mon cou. Mes mains s’approchent de ses seins. Je les emprisonne, mes mains faisant office de coupes délicieusement. Andréa ne se retient pas. De sa gorge sortent des râles de satisfaction.
    
    — Viens... prends-moi... pénètre-moi... met ta bite dans ma chatte... j’ai envie de ton sexe en moi... donne-moi ta queue... vite je vais jouir et je te veux en moi...
    
    Je prolonge mes caresses. Pour Andréa c’est un vrai supplice, mais un délicieux supplice. Mes doigts frôlent le dessus de ses seins. Andréa frissonne de plaisir. La pointe de ses seins est dure comme du bois. Mes doigts couvrent les globes tendus et roulent doucement les bouts durs et sensibles. Le plaisir la prend. Elle se tend comme un arc. Elle pousse un râle de plaisir rauque, comme de douleur. Ma bouche remplace mes doigts. La succion que j’exerce la transporte. Elle halète. Une de mes mains glisse le long de ses cuisses. Elle se cambre pour me faciliter la tâche. Sa chatte est inondée. Je plonge vers le bas de son corps. Je titille le nombril et reprends ma route vers la toison noire et taillée au cordeau. Elle se cambre encore plus pour coller son ventre à ma bouche. Mais je ralentis le mouvement. Elle se tortille dans tous les sens. ...
    ... Elle saisit ma tête entre ses mains et pousse ma bouche vers son sexe. Je veux encore la faire attendre. Je veux qu’elle me supplie de la prendre. Elle crochète mes cheveux et tire sans ménagement.
    
    Elle me guide jusqu’à son antre. Ma bouche entre en contact avec ses lèvres gonflées, humides et écarlates de sang sa chatte. Ma langue s’insinue entre elles et lape les deux babines. Elles ruissellent de mouille. Après plusieurs passages sur ses limbes, je remonte lentement le long des lèvres. J’arrive à leur point de convergence. Juste au-dessus, il est là. Gonflé, tendu, arrogant, attendant la caresse, son clitoris est sorti de son capuchon. Ma langue pointe sur le bouton. La réaction d’Andréa est indescriptible. C’est un véritable ouragan qui la traverse. Elle est agitée de mouvements incontrôlés preuve que de plaisirs insupportables. L’orgasme la terrasse. Sa tête bat de gauche à droite. Elle n’est plus maîtresse d’elle. Je manque de quitter le point de déclenchement de la tornade. Elle crie comme une possédée. Elle plaque de ses deux mains, ma tête sur sa chatte.
    
    De longs spasmes libérateurs de l’orgasme agitent toute la jeune femme. Elle se laisse aller, alanguie, anéantie par le raz de marée qui vient de la bouleverser. Je recommence doucement de la langue à laper la mouille abondante qui coule de son sexe. Je remonte sur le corps transpirant et retrouve la bouche d’Andréa. Sa langue envahit ma bouche. Nos langues se mêlent en un baiser fougueux.
    
    Elle m’enlace de ...
«12...456...»