1. LE PANTALON


    Datte: 18/10/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... au passage de mes phalanges. Je caresse un peu le bouton de plaisir, qui, comme un interrupteur secret, déclenche simultanément une ouverture plus grande des jambes, et des soupirs accentués. Mon majeur resdescend dans cette vallée qui s’inonde, mais ne peut aller jusqu’au bout, absorbé par un gouffre vivant dans lequel il va se noyer. Il remonte vers le clitoris, et repart aidé d’un second doigt, mais tous deux sont avalés aussitôt par ce trou avide de plaisir. Trois doigts s’agitent maintenant en Viviane, qui accompagne leur progression de poussées du bassin, les cuisses largement écartées. Mes doigts détrempés entrent et sortent en cadence. Ils glissent vers le bas et s’aventurent sur l’anneau plissé qu’ils humectent avant de le forcer. J’ai bientôt deux doigts dans la chatte et deux dans le cul de la demoiselle , qui s’enfoncent jusqu’à la garde, et la font pâmer d’extase.
    
    « Continue, c’est bon ! tu sais te servir de tes doigts. Je te sens en moi »
    
    Elle jouit bruyamment, et bascule sur moi, s’empalant tout à coup, sur ma queue, son bassin venant frénétiquement rouler sur mon sexe.
    
    Je tends la main et allumes la lampe de chevet. Elle m’apparaît, me chevauchant telle une amazone extatique, les seins tremblotant au rythme de sa chevauchée. Les bras tendu, se rejoignant sur ma poitrine comme un cowboy de rodéo, son cul venant taper sur mes cuisses, les yeux cernés de bleu, un rictus de plaisir n’arrivant pas à déformer son joli visage.
    
    Elle recommence à gémir, ...
    ... puis à couiner, rebondissant comme un pantin détraqué, et finit par crier un grand Ouiiiiii ! en s’abattant sur moi.
    
    Je n’ai pas encore joui. Je la positionne à genoux, et lui fais relever la croupe. Je viens m’enfoncer dans son antre encore ouvert, et la pistonne vaillament. Elle se relève sur se bras, et, à quatre pattes, projette son postérieur au devant de mes coups de boutoir. Je la sens de nouveau prendre du plaisir, et elle arrive très vite à jouir de nouveau à la jouissance, m’inondant le sexe et les couilles. Je sors alors et présente mon gland contre son petit trou.
    
    « Ahh ! » fait elle au moment ou son muscle intime me cède le passage. Je la tamponne de quelques coups de boutoir qui lui arrachent des cris de douleur, mais elle continue à osciller le long de mon mandrin qui lui transperce les entrailles, par de longues percées. Je sens son fourreau étroit bien serré sur ma queue, et je l’attrape par les hanches, mes mains explorant ses larges fesses, qui, comme son dos se sont couvertes d’une mince pellicule de sueur
    
    « Vas y, plus fort maintenant. » me demande t’elle « mets moi tout. »
    
    Je la pistonne de plus en plus violemment, ressortant presque, à chaque aller et retour.
    
    Seuls ses cris couvrent un peu le claquement de mes couilles sur son cul
    
    « Défonces moi ! allez ! plus fort ! Encules moi, bien profond ! »
    
    Elle a une main qui s’agite sur son clito, et se trémousse nerveusement pour faire entrer ma queue toujours plus profond. La lame de fond ...