1. Mise en bouche


    Datte: 18/10/2020, Catégories: vacances, fsoumise, soubrette, préservati, pénétratio, fsodo, sorcelleri, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... détail. Je préfère que vous le fassiez, vous.
    — Alors, écoute-moi bien, Chloé. D’abord la leçon est de cinq cents euros et, si je commence je viendrai trois jours de suite. D’accord ?
    — Oui, répond ma femme.
    — Tu dois dire oui, Maître Sounou.
    — Oui, Maître Sounou.
    — Ensuite, j’attends une obéissance totale pendant mes leçons. D’accord ?
    — Oui, Maître Sounou.
    — Commençons. Déshabille-toi.
    
    Et lui-même commence à enlever son polo et son pantalon laissant apparaître un membre que je croyais n’exister que dans l’imaginaire. Son sexe pend, gros, long, calé entre deux testicules aux mêmes proportions. Chloé est stupéfaite de ce qu’elle voit et de la demande.
    
    — Mais, pourquoi je… ? Pourquoi vous… ?
    — Awa tu n’as pas expliqué le rituel à ta maîtresse ? Gronde le sorcier.
    
    Comme elle n’ose pas répondre, il se tourne vers ma femme et explique.
    
    — La Mapouka est une danse de séduction. La femme danse devant l’homme qu’elle veut. Le rituel exige qu’ils soient nus. Si la femme arrive, par son art de la Mapouka, à faire dresser le sexe de l’homme, alors ils pourront s’accoupler. Voilà. Maintenant obéis. Mets-toi nue, femme blanche, danse pour moi et nous verrons si tu es digne de la Mapouka.
    
    Il faut reconnaître que ma femme a du cran car elle s’exécute. Elle est nue. Si belle. Awa met la musique. Les tambours emplissent la pièce, les vitres vibrent. Elle commence, s’applique mais n’arrive pas à se concentrer, certainement perturbée par ce qui vient de lui être ...
    ... signifié. C’est évident qu’elle n’arrivera pas à faire dresser le dard qui sommeille encore.
    
    L’homme l’interrompt d’une voix sèche.
    
    — Arrête. C’est n’importe quoi. Awa, montre-lui.
    
    Et Awa s’exécute. Il faut reconnaître que la sensualité se dégage de tous les pores de sa peau. Elle ondule, fait vibrer ses fesses, s’approche du Maître pour le provoquer, guettant le moindre mouvement. Et la récompense arrive. Le serpent se réveille, gonfle, se dresse pour devenir une queue assez raide pour se tenir droite.
    
    — Voilà la vraie Mapouka. Tu peux te retirer. Je reviendrai demain. Laisse-moi avec Awa, dit le sorcier à ma femme.
    
    Elle obéit, sort de la pièce, mais de là où je suis, je peux voir qu’elle ne ferme pas complètement la porte pour pouvoir surveiller. Awa, sur un geste de l’homme s’agenouille devant lui et entreprend une fellation. Le sexe est si gros que c’est déjà une aventure de pouvoir prendre le gland en entier. La grande bouche d’Awa lui permet cet exploit mais elle ne peut pas aller plus loin. Elle le garde ainsi pendant que ses deux mains branlent la hampe. Je suis trop loin pour me rendre compte mais j’imagine que le sexe doit grossir encore sous ses caresses. Alors l’homme se lève, entraînant la femme pour la faire s’appuyer, penchée sur la table. Il écarte de ses mains le sillon fessier et crache plusieurs fois dans la fente. Après l’avoir revêtu d’une capote, il frotte son sexe pour le recouvrir de sa salive et le présente à l’entrée du vagin, enfin je, crois ...
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