Un contrat intéressant
Datte: 16/10/2020,
Catégories:
ffh,
Oral
69,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
init,
initfh,
Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe
... lundi.
Malgré sa déception, Manon accueille l’invitée avec chaleur. Tous trois partagent le repas qu’elle a préparé. Pourvu qu’il ne lui parle pas de leur aventure. La conversation roule sur toutes sortes de sujets. À minuit ils se séparent. Manon est frustrée. Ce n’est pas de la jalousie, elle ne fait pas le poids contre cette fille-là. C’est qu’elle est privée jusqu’à lundi soir de son amant.
Le sommeil ne veut pas venir. En prêtant l’oreille, elle distingue les bruits habituels qu’émettent les amoureux. Ce soir, elle va les espionner à la porte de leur chambre. Collant son oreille contre la porte, elle ne différencie que vaguement, des bruits, des paroles indistinctes. Elle aimerait mieux les saisir. Elle augmente la pression de son oreille contre le battant. Il s’entrouvre. Manon veut se retirer, mais elle aperçoit une partie de la chambre. La lampe de chevet éclaire le lit où s’ébattent les deux amants. Ils n’ont rien remarqué, n’ont pas cessé leurs ébats. Elle a manqué les préliminaires, ils sont en pleine action. Barbara a placé noué ses jambes dans les reins d’Hervé. Celui-ci la besogne très lentement, savourant cet instant comme un gourmet devant son plat préféré.
— Chéri arrête, je veux quelque chose de meilleur. Maintenant, encule-moi.
— Tes désirs sont des ordres. Mets-toi à quatre pattes et écarte tes fesses.
Elle pivote et présente son fessier bien ouvert à la vue de Manon. Lui se place derrière, les jambes écartées. Crachant dans sa main, il ...
... graisse son dard qu’il présente dans le centre de la cible.
— Démarre doucement.
— D’accord, ton cul est merveilleux. Je vais t’épingler comme un papillon.
Manon assiste alors à une scène formidable. Le dard s’enfonce lentement entre les fesses. Il ressort. Puis le piston augmente de cadence. La suppliciée émet une plainte qui s’amplifie au rythme des coups de boutoir. Soudain, un cri féminin vite maîtrisé, et le cavalier s’immobilise, enfoncé jusqu’à la garde. Les corps sont immobiles, mais les visages expriment un tel bonheur que la voyeuse, finissant de se branler, éclate elle aussi.
Rapidement elle regagne son lit afin de ne pas se faire surprendre.
Le lendemain matin, vers neuf heures, elle prépare le café qu’elle va leur porter dans leur chambre. Un coup discret à la porte. Elle entend « entre ». Poussant le battant, elle découvre leurs amis en pleine action.
— Arrêtons-nous, nous reprendrons après le café, dit Barbara. Va chercher ta tasse, nous le boirons ensemble.
Médusée, la jeune fille ne peut que se retirer, tant elle est choquée. Pourtant elle obéit, revient au pied du lit.
— Tu ne vas pas rester debout, lui dit son ami, viens te mettre entre nous deux. Enlève te chemise, tu risques de la tacher. Ne me dis pas que tu es choquée par ce que tu as vu !
— Penses-tu, cette nuit elle a eu tout le temps de nous contempler et même de prendre son plaisir en même temps que nous.
Manon est angoissée. Malgré cela elle se glisse entre les deux corps. ...