1. La tempête de neige


    Datte: 16/10/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, train, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation Oral Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... bite ! Oooooh ! Ta belle bite ! Je t’aime, je… t’ai… me ! Bai… se… moi… fort !
    
    J’accélérai mon mouvement. Ses jambes me serraient de plus en plus fort, comme si elle avait voulu que je la pénètre à fond. Je sentis que j’allais jouir moi aussi. Je le lui dis. Cela l’excita davantage, si c’était encore possible.
    
    — Oh ! Ouiii ! Chériiii ! Jouis en moi ! Donne tout ton jus à ma cramouille. Je veux sentir ta bite décharger en moi. Elle est grosse ! Je la sens bien dure et prête à juter. Vas-y, mon amour ! Vas-y ! Jute fort dans mon ventre. Je veux ton foutre ! Ouiiii ! Je vais jouiiiiir ! Ooooooh ouiiiiiiiii ! Je… vais… jou… iiiiiir ! Je veux que tu jouisses avec moi. Ouiiii ! Jouiiiiis, mon chériiii ! Jouiiiiis en moi ! Aaaaaaaah ! Aaaaaaaah Je… pars… Ouiiiiiiiiii !
    
    Elle saisit mes fesses, les serra de toutes ses forces. J’étais au fond de son ventre dont je sentais palpiter la chair. Elle cria son plaisir au moment où tous deux nous sombrâmes dans l’orgasme. Sa moule pressait ma bite qui se déversait en elle. Je retombai sur elle en gémissant. Ses yeux révulsés, son souffle court témoignaient de sa jouissance. Sa peau se couvrit de taches roses. Je me glissai contre elle en la câlinant doucement. Elle gémit encore, secouée par les derniers spasmes du plaisir. Je m’appuyai sur un coude pour la contempler, nue et encore offerte ; le sperme, suintant lentement de sa chatte béante, s’écoulait sur le drap. Elle ouvrit les yeux, des yeux brillants mais un peu vagues.
    
    — Oh ...
    ... ! Que m’as-tu fait ? Tu m’as eue ! Quelle secousse ! Il y a si longtemps que cela ne m’était plus arrivé… Chéri, comme tu m’as bien fait l’amour. J’aurais presque envie de recommencer.
    — Moi aussi ; mais laisse-moi le temps de recharger mes batteries. Toi aussi, tu m’as eu. Je sens encore sur ma pine les pressions de ton vagin. Quelle chatte tu as !
    — Et toi, quelle bite ! Elle est bonne, tu sais ! Ah ! Je me sens si bien. Mais, j’y pense, le souper doit être froid. Viens, nous allons manger : cela nous donnera des forces pour recommencer.
    
    Elle me prit dans ses bras, m’embrassa fougueusement et m’entraîna vers la petite salle à manger. Elle m’abandonna pour réchauffer le repas. Celui-ci allait être le bienvenu, l’amour nous ayant donné la fringale. Marie-Anne revint très vite, posa le plat et se pencha pour me donner un autre baiser brûlant. Nous étions nus, assis l’un contre l’autre, ce qui nous permettait de nous caresser tout en mangeant. Ma main libre allait et venait sur ses seins gonflés. Elle ne cessait de caresser ma bite qui reprit vigueur entre ses doigts agiles.
    
    — Ça y est ! Tu rebandes déjà ! Ça va vite, chez toi ! J’aime ça, tu sais, une belle bite bien dure et courageuse. Je sens que nous allons passer une nuit agitée.
    
    Ma main quitta ses seins et descendit sur son ventre. Marie-Anne ouvrit lentement ses cuisses et ma main s’insinua jusqu’à sa chatte.
    
    — Tu peux bien parler, dis-je en souriant ; tu mouilles comme une fontaine. Tu es chaude comme une ...
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