1. La tempête de neige


    Datte: 16/10/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, train, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation Oral Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... braise. J’aime les moules qui coulent toutes seules, comme la tienne.
    — J’ai toujours été comme ça. Déjà quand j’étais une jeune fille de douze ans, rien que de me caresser doucement les seins, je sentais ma chatte devenir toute moite et une chaleur me prendre à l’intérieur. Alors, je la frottais et je me faisais jouir toute seule. C’est comme ça que j’ai découvert que, comme toutes les femmes, j’avais un petit bouton très sensible et que rien qu’à le caresser et le prendre entre deux doigts, cela me mettait dans tous mes états et je finissais par grimper au plafond. C’est ce que tu m’as fait d’ailleurs et j’ai joui comme rarement ça m’est arrivé. J’aime mon petit clitoris et j’adore quand on joue avec. Caresse-le-moi encore. Tu le fais si bien… Regarde : ma chatte coule encore, et ce n’est pas que ton jus de couilles.
    
    Ce disant, elle recula un peu sa chaise, écarta les cuisses et, prenant ma main libre, la plaqua sur sa chatte et guida mes doigts contre son clito gonflé. Je le flattai doucement, ce qui eut le don de la faire gémir.
    
    — Oh ouiii ! C’est booooon ! En… coooo… re ! En… coooo… re ! Oh ! J’aime tes doigts qui me tripotent la chatte. Laisse-moi jouer avec ta bite. Elle est toute grosse.
    — Oui, je bande fort. Elle coule aussi, comme ta chatte.
    
    Elle passa son doigt sur le gland d’où s’échappait le liquide vitreux, puis porta le doigt à sa bouche et le lécha.
    
    — C’est salé, ton jus.
    — Bien sûr, comme le tien. Tu ne savais pas ?
    — Non. C’est la ...
    ... première fois. Tu m’en fais faire, des choses. Je n’avais jamais pensé lécher du jus léger comme celui-ci. D’ailleurs, je n’ai jamais avalé la fumée. Je ne connais pas le goût du jus de bite.
    — Veux-tu goûter le mien ?
    — Oh oui ! Donne ; je vais te sucer la bite et te faire jouir.
    — J’espère que tu ne m’as pas tout pris tout à l’heure.
    — Oh non ! À voir ta pine toute dure, je crois que tu as encore de bonnes réserves de foutre dans tes couilles.
    
    Nous achevâmes quand même le dessert, un rafraîchissant mélange de fruits et de glace. Comme il en restait encore un peu dans le plat, je lui proposai de retourner au lit, car j’avais eu soudain une idée saugrenue.
    
    — Oui, si tu veux.
    
    Elle me précéda dans la chambre ; je la suivis, emportant le plat de fruits glacés. Je la trouvai étendue sur le dos, les jambes écartées et repliées, me montrant sans pudeur sa chatte grande ouverte qu’elle caressait en m’observant d’un air provocant. Je m’assis près d’elle.
    
    — Que fais-tu avec ce plat ?
    — Tu vas le sentir. J’aime les moules sucrées.
    
    Avec la cuiller, je déposai sur sa moule un morceau de banane enrobé de crème glacée.
    
    — Oouh ! C’est froid ! Vilain ! Moi qui suis toute chaude, tu veux me refroidir ?
    
    Mais la glace fondait. Je me penchai et, tendrement, je passai la langue pour lécher la glace qui maintenant coulait dans son vagin. Je remontai sur le clito. Je recommençai l’opération, mais je mis une bonne cuillerée de fruits et de glace sur son sexe, ce qui la fit ...
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