1. Le voisin bricoleur a des mains en or et un sacré outil. 2/5


    Datte: 16/10/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... entre mes lèvres la grosse prune violacée. Je progresse avec douceur et appréhension en introduisant ce phallus car si la longueur ne m’inquiète pas, le diamètre exceptionnel de ce fût de canon me fait un peu peur.
    
    Il se laisse faire comme si vraiment il dormait, mais je sais qu’il n’en est rien. Un frisson (de froid ou de plaisir) secoue son corps.
    
    Je n’ai jamais fais une fellation aussi longue. Sa queue a une odeur de chlore au début mais les phéromones mâles prennent le dessus. Je voudrais mettre mon nez dans ses poils pubiens mais je dois abdiquer devant la grandeur de la tâche, (ou plutôt de la queue).
    
    Toute ma science y passe, coups de langue sur le frein, mordillement du gland, pétrissage des bourses, et j’en passe, mais rien y fait.
    
    Ce n’est qu’après une quinzaine de minutes à me décrocher les mandibules qu’il commence à geindre.
    
    Un gonflement supplémentaire de la verge et ses bourses qui viennent se coller sur la hampe annoncent le feu d’artifice tant attendu. Je ne veux plus bouger.
    
    Il agrippe soudain ma tête à deux mains à l’instant fatidique.
    
    Je n’aime pas qu’un homme jouisse dans ma bouche mais là, c’est trop tard pour le lui dire.
    
    Je me rappelle avec horreur les flots de foutre qu’il a éjaculés sur cette pimbêche de vacancière la semaine dernière (voir épisode 1). Vais-je subir le même sort ?
    
    Son gland est en butée sur ma luette, je reprends ma respiration pour lui dire de me lâcher au moment ou son premier éjacula digne d’un étalon ...
    ... saillant une jument se déverse au fond de ma gorge suivit de deux autres tout aussi fournis.
    
    Je m’étouffe, mes poumons essaient de recracher par tous les moyens possibles ces corps étrangers. Le sperme âcre et épais se fraie un chemin dans mes bronches et trouvant le passage pratiquement obturé par une énorme banane fait comme tout liquide, il cherche une autre issue. A chaque convulsion, des filets de sperme sortent de mes narines.
    
    Quand il redescend sur terre et aperçoit enfin ce qu’il a fait, il se répand en excuses :
    
    -OH ! Pardon Béatrice ! C’était si bon ! Si planant que je ne sais pas ce qui m’a pris ! Je n’ai pas réalisé que j’avais poussé mon sexe aussi loin ! Pardon ! Pardon !
    
    Je ne dis rien, mon sourire parle pour moi mais Il m’a fallu un long moment pour reprendre ma respiration et vider mes voies supérieures de sa lave blanche. J’ai dû remplir de nombreux mouchoirs en papier pour me dégager le nez et les bronches.
    
    Cette journée s’est terminée ainsi. Un peu honteux de ce qu’il m’avait fait subir, il c’est éloigné comme à son habitude, nu comme un vers, la queue entre les jambes. Moi je suis partie vers ma maison, heureuse et comblée.
    
    Ça fait quelques temps qu’il joue avec ma patience, me mettant sur les charbons ardents mais se dérobant au dernier moment, j’en deviens folle, attendant de ses nouvelles.
    
    Hier, Paul m’a demandé d’inviter Marc. Il me taquine en me parlant de ce voisin, qu'il ne connaît pas encore, disant que je ne devrais pas trop ...