1. Le secret d'Anna (1)


    Datte: 15/10/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, jardin, caférestau, amour, volupté, Masturbation Oral pénétratio, champagne, mélo, Auteur: Phileras, Source: Revebebe

    ... nous dit que les femmes aiment les coquins… surtout quand ils sont jeunes et beaux comme moi.
    — Tu es vraiment un jeune coq vantard.
    — Tu te répètes, Anna, tu te répètes.
    
    Pour Alain le spectacle est torride. Devant l’étang, mais protégée de tout regard indiscret, Anna enlève sa petite culotte, tout en restant debout. Elle passe une première jambe, puis l’autre avec un tel naturel qu’elle donne l’impression de l’avoir fait toute sa vie. Elle ouvre son sac à main pour ranger le minuscule objet du délit et s’apprête à s’asseoir sur le banc à côté d’Alain.
    
    — Ce n’est pas fini Anna, il vous reste encore quelque chose à enlever, lui signale Alain, dans un anglais très « sélect » et sur un ton autoritaire.
    — Non, Alain, ne soyez pas fâché, mais je veux absolument garder ma robe sur moi.
    — Votre robe, oui, mais pas votre soutien-gorge. Je ne veux aucune barrière, ni pour mes yeux, ni pour mes mains… ni pour mes lèvres.
    — Alain, vous enflammez toujours les femmes avant de les aimer ?
    — Disons que j’aime me conduire en « gentleman ».
    
    Alain est surpris de voir la dextérité avec laquelle une femme sait enlever un soutien-gorge sans avoir à se déshabiller, au moins partiellement. Il défait son pantalon, baisse son slip et écarte les pans de sa chemise. Il est prêt à accueillir son amante. Les préparatifs intermédiaires lui semblent à cet instant superflus : son excitation est à son maximum et celle d’Anna ne l’est visiblement pas moins :
    
    — Assieds-toi sur moi, ...
    ... face à l’étang, ma belle Anna.
    
    Anna se retourne. Alain soulève sa petite robe et avec ses mains, la soutient pour qu’elle puisse s’installer confortablement sur lui. D’une main leste, elle guide son amant pour qu’il puisse la pénétrer facilement au plus profond d’elle-même. Alain apprécie cette chaleur, cette volupté et cette onctuosité. Il fait glisser les deux bretelles de la robe d’Anna qui ne s’y oppose pas. Ses seins sont à l’air. Il les saisit à pleine main, tout en embrassant son amante dans le cou :
    
    — Caresse-toi doucement, ma Hollandaise chérie.
    — …
    — Si tu sais faire ?
    — Monstre, ça je sais faire.
    
    Tout en lui mordillant le cou, Alain lui glisse dans le creux de l’oreille :
    
    — Prends ton temps, fais durer notre plaisir.
    
    Anna se caresse trop fort, elle martyrise son clitoris, elle n’en peut plus. L’excitation, l’ambiance, les interdits qui se brisent font qu’elle ne trouve pas la force d’attendre. Son trouble est tel que les mots en français ne lui viennent plus :
    
    — Alain, serrez-moi très fort dans vos bras, je vais jouir.
    — Non, pas tout de suite, patiente encore un petit peu, lui répond Alain à voix très basse et sur un ton très coquin en français.
    — Non, je ne peux pas, je ne peux pas.
    
    Tout le corps d’Anna est saisi de tremblements. Soudain, sans prévenir, à une vitesse et avec une souplesse incroyable, elle se lève, se retourne, se rassoit de face sur Alain et déchaîne son plaisir en l’embrassant avec une force, ou plutôt une brutalité ...