1. Les couples se forment


    Datte: 13/10/2020, Catégories: fh, amour, volupté, Oral pénétratio, Auteur: Fcomblee, Source: Revebebe

    ... grand plaisir. Je gémis et n’ai pas envie qu’il arrête. Je le caresse aussi et l’incite à rapprocher ses hanches pour que je puisse le sucer. Je passe ma langue le long de sa hampe, il soupire pendant que ma bouche joue avec le bout de son gland.
    
    — Arrête sinon, je ne vais pas encore tenir longtemps et j’ai vraiment envie de te faire l’amour longtemps.
    
    Sa langue reprend son exploration, elle essaie de me pénétrer. Ayant atteint les sommets du plaisir, je l’implore de me prendre.
    
    — Comment veux-tu que je te prenne ?
    
    Je ne réponds pas, mais je pose mes pieds sur ses épaules, m’offrant véritablement à lui.
    
    — Hum que c’est bon, dit-il en me pénétrant doucement, je me sens tellement bien en toi, ta chatte est chaude, douce et étroite. Un vrai bonheur pour un homme.
    
    Ses mouvements parfois lents, parfois rapides sont ponctués par des pauses tendresse, mes seins sont comblés par l’attention qu’il leur porte. Nous changeons plusieurs fois de position et c’est en levrette qu’il me fait jouir rapidement et bruyamment, quelques secondes plus tard, il se répand en moi dans un long râle. Nous récupérons ensemble dans les bras l’un de l’autre.
    
    — J’ai adoré te faire l’amour, te lécher est un régal me chuchote-t-il à l’oreille.
    — Pour moi aussi.
    — Rares sont les femmes que j’ai connues qui aimaient ça. J’ai été marié 12 ans à une femme qui ne tolérait que la position du missionnaire, des préliminaires les plus courts possibles et surtout ni fellation, ni cunni.
    — La ...
    ... pauvre, elle ne sait pas ce qu’elle perd ! Mon mari était un homme extraordinaire qui m’a initiée aux plaisirs du sexe et qui m’a donné du plaisir comme personne.
    — Je t’ai déçue ? demande-t-il inquiet.
    — Non, bien au contraire.
    
    Nous avons peu dormi cette nuit-là et à 6 heures, je lui demande de partir pour que les enfants ne le trouvent pas là à leur réveil. Nous devons nous retrouver à 9h pour la dernière journée de formation. Après son départ, je me mets à penser à François et à les comparer. Ils sont tellement différents et tellement semblables en même temps. Ils sont tous les deux acharnés au travail, sensibles et attentionnés en privé. François avait le visage plus ouvert, mais était dur avec ses employés alors que Marc est beaucoup plus froid, mais en même temps plus abordable. Je m’approche de la commode et m’assois devant le portrait de mon mari :
    
    — Je crois qu’il te plairait celui-là.
    
    J’ai cru le voir sourire ! Ma pauvre Caro, retourne te coucher et dors un peu, tu te mets à divaguer !
    
    Malgré de courtes périodes de sommeil, je me sens en pleine forme ce matin et je suis en train de préparer le petit déjeuner lorsque Mathilde arrive et dit en s’asseyant :
    
    — Vous prenez ma place ce matin ? Remarquez que j’aurais bien aimé prendre la vôtre cette nuit.
    
    Elle nous a entendus, je suis à la fois gênée et triste pour elle mais n’en laisse rien paraître et essaie de prendre un air détaché pour lui dire :
    
    — Mathilde, vous pouvez trouver un homme qui vous ...
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