Les couples se forment
Datte: 13/10/2020,
Catégories:
fh,
amour,
volupté,
Oral
pénétratio,
Auteur: Fcomblee, Source: Revebebe
... acceptez ce que vous voulez mais si vous avez confiance en lui faites ce qu’il vous demande et vous ne serez pas déçue.
— Je voudrais tant être comme vous et Monsieur François !
— C’est-à-dire ?
— Ben que les gens ressentent que vous vous aimez.
— Alors soyez simple ! aimez Jean-Louis comme il est. Je sais déjà qu’il vous aime.
— Vous le voyez ?
— Bien sûr que je le vois et j’espère que ça va durer longtemps.
La semaine passa très vite, j’avais levé le pied au travail vu la période et je n’allais à mon cabinet que pour rattraper mon retard sur certains dossiers. Je passais beaucoup de temps à la maison, ce qui me permettait d’aller faire un saut dans la maison de gardien où j’étais toujours bien accueillie et d’échafauder des plans de rénovation dans ma propre maison en attendant l’architecte. J’étais effarée de voir ce que pouvait faire Marc, moi qui n’avais jamais connu d’homme bricoleur. Le midi, nous mangions tous les 4 et nous nous octroyions une petite pause câline après le repas, pause que j’appréciais d’autant plus avant de retourner travailler.
Le vendredi 31 décembre 2004, les travaux avaient considérablement avancés dans la maison de gardien, la cuisine était fonctionnelle ainsi que la salle de bains (merci au copain plombier de Marc qui est venu pendant ses vacances), le tableau électrique était changé (merci à Marc), les murs étaient mis à blanc, le carrelage et la faïence de la cuisine étaient posés et il ne restait que le carrelage de la salle de ...
... bains ainsi que la tapisserie des murs des autres pièces, bref ! La maison était presque habitable ! Mathilde avait considérablement mis la main à la pâte aussi.
Avant de partir réveillonner chez Sabine, nous prenons l’apéritif avec Jean-Louis et Mathilde. Marc leur propose de leur céder des meubles dès qu’il serait à temps plein ici c’est-à-dire dès que les enfants seront au courant. Mathilde qui n’a plus rien, accepte non sans mal, c’est-à-dire qu’il a fallu que Marc accepte en échange une certaine somme, puis nous nous éclipsons pour rejoindre Sabine et son mari, Joël. Nous passons une bonne soirée même si Sabine dans la cuisine m’avoue ne plus s’éclater avec Joël.
— Il se contente de me baiser et encore…
— Essaie de pimenter la chose.
— J’essaie mais rien n’y fait. On dirait qu’il s’en fout.
— Il a quelqu’un d’autre ?
— Non je ne pense pas mais il m’a avoué l’autre soir qu’il avait un fantasme.
— C’est peut-être l’occasion de le faire réagir. C’est quoi ce fantasme ?
— Il rêve de te faire l’amour, ajoute-t-elle en sanglotant. Je lui ai dit que tu avais quelqu’un et que tu étais très heureuse avec lui. Je voudrais que toi et Marc soyez très entreprenants l’un envers l’autre histoire de lui remettre les idées en place.
— Sabine, je n’ai jamais rien fait qui puisse encourager ton mari.
— Je sais, mais que veux-tu il fantasme sur toi !
— Écoute-moi, il faut que tu arrêtes de te mettre dans des états pareils, je vais essayer de le faire revenir à la raison, je ...