1. Comment le jardinier est devenu "le défricheur.2


    Datte: 13/10/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... soupir de plaisir.
    
    - Vas-y, baise-moi, beau jardinier, Mon Dieu, que tu es gros !
    
    Je ne sais pas si c’est à cause de l’épaisseur de ma bite mais je trouvais cet endroit incroyablement serrée. Heureusement l’inondation avait atteint la cave facilitant la pénétration.
    
    - Prends-moi! Fais-moi jouir, défriche-moi l’intérieur ! Me supplia-t-elle en s’empalant sur mon sexe jusqu'à la garde. Je suis tel une pucelle, tu visites des terres vierges tellement tu vas loin !
    
    Ma queue était dans un endroit interdit sous ce toit, le vagin d’une bonne sœur et pourtant je me croyais déjà au paradis.
    
    Elle commença à remuer sur moi, coulissant avec douceur sur ma pine, puis peu à peu, elle accentua le rythme de pénétration.
    
    Chaque coup était ponctué d’un petit han ! Je n’aurais pas imaginé qu’elle oserait franchir ce cap même après sa fabuleuse fellation.
    
    Sa matrice était douce et chaude et avait absorbé avec une facilité déconcertante mon engin.
    
    Elle avait brisé ce tabou rejetant son laborieux cheminement spirituel.
    
    En accord avec elle-même, débarrassée des blocages religieux, sœur Marie avait joui rien qu’en s’empalant sur cet axe formidable.
    
    La verge monstrueuse du jardinier pulsait dans son sexe. Remise de cet orgasme dû à ses pensés lubriques, elle se mit à onduler, embrochée sur ce formidable bélier.
    
    Des ondes de plaisirs la faisaient ronronner, accentuées par ses incessant aller/retour sur ce jonc vigoureux.
    
    -Oh que c’est bon, c’est encore mieux que ...
    ... dans mes rêves, je voudrais que ça soit sans fin !
    
    J’étais au bord de l’éjaculation, essayant de penser à autre chose pour tenir encore.
    
    Sœur Marie avait le diable au corps, me besognant avec acharnement
    
    Elle exprimait son bonheur par des grognements et des gémissements. Heureusement que l’infirmerie est dans une aile isolée !
    
    - Je jooouuuiiis !!! Ooouuuii ! Putain, je me vide.
    
    Ses ongles plantés dans mon dos, son corps tremblait, un cri de louve s’échappa de sa bouche avant que son corps ne se fige.
    
    Mais moi, je n’avais pas encore mon dû et je pris la relève en la pourfendant à grands coups de reins.
    
    -Je vais jouir Sœur Marie ! Affolée à l’idée que je l’engrosse, elle s’éjecta de mon rostre et me reprit en bouche. J’éjaculai à nouveau abondamment et maintenant qu’elle connaissait ma façon de jouir, elle déglutissait au fur et à mesure, attendant patiemment la giclée suivante, sauf mes dernières contributions qu’elle garda en bouche pour en déguster toutes les saveurs.
    
    Elle se releva enfin, laissant redescendre sa tunique et ouvrit sa bouche pour me monter sa langue chargée de ma semence avant de déglutir à nouveau.
    
    Elle me lava à nouveau pour effacer les traces de luxure laissées sur mon corps et prit mes lèvres pour un baiser fougueux avant d’aller vite changer sa guimpe maculée de mon sperme dans sa cellule.
    
    Mais en passant la porte, elle se retourna et m’annonça :
    
    -C’est décidé, tu m’as prouvé que je n’étais pas faite pour cette vie de ...