1. Comment le jardinier est devenu "le défricheur.2


    Datte: 13/10/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    Ou comment le jardinier est devenu le « défricheur ».2
    
    Vous me connaissez sous le nom de « Maître » ou de « Défricheur » ou encore du jardinier.
    
    Mais il faut que je remonte 9 ans en arrière pour vous raconter mon histoire.
    
    Suite :
    
    Elle apprécia le goût acre de ma verge, se délecta des sécrétions spermiques et l’engouffra dans sa bouche, suçant goulûment, faisant des aller/retour lents puis de plus en plus vite.
    
    Mon dard ruisselait de salive, sa main caressait mes bourses pendant que sa langue agile léchait mon gland.
    
    Après avoir bien œuvré, elle prît du recul pour admirer son œuvre.
    
    - Votre flamberge est magnifique, je n’en ai jamais sucée de si grosses. Je ne devrais pas mais c’est trop tentant !
    
    Et elle replongea sur mon dard, le pompant avec application pendant que ses mains jouaient avec la hampe et les couilles.
    
    -Oh oui, sucez-moi…
    
    Je soupirais de plus en plus fort. Ma bite incroyablement dure, mes couilles encore pleines manœuvrées d’une main sûre, répondaient à ses caresses.
    
    Elle a craché sur ma queue, avant de l’engloutir à nouveau presque complètement, en s’étouffant.
    
    Ça me rendait dingue! Elle me léchait les couilles, pendant que de l’autre main, elle glissait sur mon périnée pour tenter d’atteindre mon trou du cul…
    
    Je gémissais sous ses caresses, elle savait sucer la bougresse. Je sentais encore enfler ma pine dans sa bouche. La pression n’avait pas baissée depuis ma première éjaculation et je sentis sourdre à nouveau dans ma ...
    ... verge le flux dévastateur.
    
    La substance blanchâtre fut tout aussi abondante et englua sa bouche.
    
    Sous la dose, elle éjecta de ses lèvres ma lance en toussant mais ne la lâcha pas pour autant.
    
    L’explosion suivante lui macula le visage et la coiffe, elle fut surprise mais reprit la branle de mon gourdin qui une nouvelle fois après quelques secondes éructa encore un trait de foutre qui luit tacha la guimpe (étoffe blanche cachant le cou) et les mains.
    
    Je la voyais haleter, j’étais sur qu’elle avait joui aussi de ses actes pervers.
    
    Ses mains étaient couvertes de ma semence qu’elle se mit à lécher, quel spectacle.
    
    Elle s’exclama :
    
    -Je n’ai jamais vu ça, tu jouis par intermittence… Et les doses sont démentielles, (confuse, elle fit un signe de croix), et ton sexe est toujours aussi dur ! Tu es un véritable démon (et re-signe de croix).
    
    « En ce temps-là, je n’étais pas encore devenu l’homme expérimenté des cours de Madame Clerc et ne maitrisais pas le rythme de mes éjaculations qui étaient beaucoup plus rapides que quelques années plus tard et mon sexe n’avait pas encore atteint sa plénitude sexuelle »
    
    Je la vis remonter sa tunique, elle ne portait rien en dessous à cause des fortes chaleurs...
    
    - Tu m’as trop excitée, j’ai besoin de cette belle queue dans mon ventre.
    
    Sœur Marie enjamba mon corps, tâtonna pour reprendre ma queue, la positionna devant l’entrée de son sexe en écartant les lèvres vaginales de ses doigts et s’empala en poussant un profond ...
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