1. 54.9 Un beau mâle brun et très très chaud.


    Datte: 12/10/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... poils au dessus et autour le la base de sa queue.
    
    Qu’est-ce que c’est bien fait, agréable à regarder, à toucher, à lécher, l’anatomie, le sexe d’un garçon ; et quand en plus il s’agit du garçon qu’on aime, une magie insaisissable s’ajoute à la beauté pure, au désir, rendant la vision et le contact presque insoutenables.
    
    J’ai à nouveau envie de le prendre en bouche, mais je résiste, j’ai envie de lui lécher les couilles encore et encore. Alors je lèche, encore et encore, insatiable. Au gré de mes caresses humides, je sens mon bobrun émerger petit à petit, je sens sa respiration changer, ses membres se désengourdir dans des petits mouvements lents provoqués par les petites décharges de plaisir que le contact de ma langue lui procure.
    
    Je remonte le long de sa queue encore mi-molle, j’avale son gland, je le caresse avec ma langue, avec douceur, tout en tripotant son manche avec mes doigts.
    
    Soudainement, le bogoss contracte ses abdos et relève le dos.
    
    « Tu fais quoi ? ».
    
    « Tu veux pas ? ».
    
    « Il est quelle heure ? ».
    
    Il est vraiment inquiet d’être à nouveau en retard. Je ne lui ai même pas demandé s’il s’était fait engueuler la veille à cause de la sieste de laquelle je ne l’ai pas réveillé à temps. Il faudra que je pense à lui demander. En tout cas, aujourd’hui ça ne va pas être le cas. J’ai décidé de le réveiller en lui offrant une dernière gâterie, avant qu’il ne reparte pour son taf en temps et en heure.
    
    « Tout juste cinq heures… » je m’arrange à ...
    ... peine avec la réalité « t’as le temps… ».
    
    Rassuré, le bogoss s’allonge à nouveau, ou plutôt, il laisse tomber lourdement le dos sur le matelas.
    
    Je reprends mes caresses sur sa queue et je me lance dans une pipe toute douce. Petit à petit sa queue retrouve des couleurs, de la raideur. Petit à petit, sa respiration à s’emballe, signe que le bogoss passe de la torpeur au plaisir, un plaisir auquel il ne dit pas non.
    
    Je le pompe tout doucement, je ne veux pas le faire jouir trop vite ; j’ai envie de le faire languir, retardant sa jouissance, tout en lui faisant apprécier l’attente, la frustration ; j’ai envie de l’amener sur une falaise plongeante un océan de plaisir intense, un plaisir qui l’appelle, qui le happe, mais duquel je le retiens, envie de les sentir déchiré entre l’envie de jouir au plus vite et cette attente prometteuse d’un plaisir d’autant plus intense que l’attente est longue.
    
    Ses doigts frôlent la base de ma nuque ; est-ce que sa main va s’y poser pour diriger, maintenir contraindre, exciter, baiser ? Ou bien, est-ce qu’elle va caresser, encourager, rassurer, émouvoir, bouleverser ?
    
    Elle s’y pose doucement, à plat, immobile ; très vite, la chaleur de sa paume irradie sur ma peau, sensation de bonheur. Je pense que le bogoss est toujours en train d’émerger et qu’il a besoin d’un petit moment pour recouvrir ses esprits et ses gestes sensuels. En attendant les intentions de sa main, comme pour les appeler et les encourager, je continue à le sucer avec ...
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