54.9 Un beau mâle brun et très très chaud.
Datte: 12/10/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... extrême m’attendent.
Bien sûr, il y a aura d’autres jouissances, cet après-midi même, je l’espère, j’en suis même certain ; bien sûr, je pourrai rattraper cette frustration ; mais chacune des attentes de son plaisir est unique, elle m’accapare totalement, comme si c’était à la fois la première et la dernière.
Pourtant, aujourd’hui, et malgré le bonheur de le sentir coulisser en moi, je me sens assailli par une envie irrépressible de l’avoir en bouche ; d’autant plus que, de kif en kif, ça fait deux jours que je n’ai pas eu ce bonheur ; c'est-à-dire, bien trop longtemps. Putain… j’ai envie de le sucer, de goûter à son jus de mâle !
Mais comment me soustraire aux coups de reins de ce jeune mâle vibrant de désir et visant tout droit son orgasme ? Comment m’arracher au contact avec ces mains qui saisissent mes épaules, cherchent appui, dominent, caressent ? Comment mettre fin au contact avec son front humide et chaud qui se frotte contre la base de ma nuque, à la caresse de son souffle chaud sur mon cou ?
Non, je ne peux pas me soustraire à la saillie de mon bobrun ; et encore moins à une telle saillie, à la fois si virile et si douce. Je ne peux pas interrompre son plaisir ; car je n’ai pas la force non plus d’interrompre le mien. Il ne me reste qu’à prendre mon plaisir (et ma frustration) en patience. Problèmes de riche.
À moins que ce ne soit lui-même qui vient à proposer un changement de cap.
« Tu veux que je te gicle où ? » je l’entends me demander.
J’ai ...
... envie de pleurer tant cette petite phrase résonne en moi comme la plus belle preuve du changement profond de mon beau mâle.
« J’ai trop envie de t’avoir en bouche… » je saisis l’occasion.
A l’instant où sa queue quitte mon entrejambe, je me sens délaissé, frustré. Mais une belle « consolation » m’attend. Le beau mâle brun me retourne, ses gestes me font mettre à genoux, des gestes faits de détermination et de douceur. Je capte au passage son beau regard brun excité : c’est magique de voir cet emportement, cette fougue dans son regard.
Me voilà à genoux devant son sexe tendu ; je le saisis par les hanches, je le colle au mur ; je le prends en bouche, je l’avale jusqu’à la garde ; je commence à le pomper vigoureusement, j’ai envie de le faire jouir vite.
Sa main se pose sur mon cou ; d’abord lourde, imprimant un mouvement de va-et-vient, faisant opposition à quelques coups de bassin destinés à envoyer son gland chatouiller l’entrée de ma gorge ; puis, très rapidement, son attitude change radicalement, se transforme en caresse ; caresse sensuelle, caresse à deux mains, caresse insistante, complice, fébrile ; caresse qui se propage à ma nuque, à mes épaules, mes tétons, mon dos.
Mais alors que j’attends impatiemment la venue de ses giclées puissantes, ses mains se glissent sous mes aisselles, imprimant un mouvement vers le haut, m’invitant à me relever. Me voilà à nouveau face à mon bobrun, face à son beau regard de plus en plus excité, son souffle de plus en plus ...