La descente aux enfers d'une veuve 6 (1)
Datte: 21/04/2018,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: sexag, Source: Xstory
... femme.
— Ah bon ! Raconte-moi. Tu sais que la confession n’impose pas de donner des détails.
— Au début, c’est ma partenaire qui insistait en me prodiguant des caresses sur tout le corps. Je me débattais et refusais cette situation, mais petit à petit, elle m’a amenée à me déshabiller en me faisant du chantage pour m’empêcher de couper toute relation. A force de subir ses caresses et ses attouchements, j’ai fini par céder, y prenant même du plaisir. Il m’arrive souvent de rêver que je suis avec elle et j’ai hâte de la retrouver. En vous en parlant, je sens même que cela m’excite et j’ai honte.
En effet, Annie sentait sa culotte s’humecter d’un jet de cyprine et curieusement, elle ne regardait plus son confesseur de la même manière. Il faut dire que le Père Dubois est un bel homme, robuste avec une chevelure ondulée. Son costume gris avec un col de chemise blanc le distinguant des laïques lui donnait un certain charme.
— Ma chère Annie, je ne peux te dire que ton attitude est irréprochable bien qu’un psy te dirait qu’elle est naturelle, mais tu sais que l’Eglise, même si elle est de plus en plus tolérante, reste très en retrait sur le libertinage. Je te trouve très agréable et qui plus est, très jolie, avec un corps apparemment bien fourni. Ta démarche, pour te confesser, et donc espérer un pardon, me touche beaucoup et si je ne peux, en tant que prêtre, t’absoudre complètement, je te propose une pénitence très personnelle. Chaque fois que tu auras un ressentiment ...
... à la suite d’un acte sexuel ou d’une pensée sexuelle, viens m’en parler pour te libérer.
— C’est très gentil de votre part mon Père, je vous promets que je viendrai vous voir.
— Très bien mon enfant.
Le père Dubois, excité par l’acceptation de cette pénitence originale, se lève pour accompagner Annie en lui déposant un baiser protecteur sur le front tout en caressant avec insistance l’épaule de sa visiteuse.
— Va en paix Annie et n’oublie pas de venir me raconter.
En rentrant chez elle, Annie se sent tout émoustillée par la mansuétude de ce prêtre qu’elle ne voit plus que comme un bel homme gentil et compatissant.
Il va être 15h. C’est l’heure d’aller travailler chez Mme Clotilde et sans appréhension, voire même avec envie, Annie s’habille comme demandé par sa patronne, nue sous sa robe blouse bien boutonnée pour ne pas attirer la vue des passants sur le court chemin à parcourir.
Après l’ouverture habituelle du portail, Mme Clotilde accueille chaleureusement sa servante pour ne pas dire sa soumise.
— Bonjour Nini, comment vas-tu ? Je vois que tu es très obéissante quant à mes demandes de tenue.
En même temps qu’un baiser sur la bouche, Clotilde passe une main sur l’entrejambe d’Annie et constate qu’elle est déjà humide.
— Serait-ce que je t’excite dès que tu me rencontres ? Tu ne crains plus mon contact ?
— Non Madame, vous m’avez tellement fait du bien tant physiquement que financièrement que j’ai vraiment envie d’être votre soumise à votre ...