1. La descente aux enfers d'une veuve 6 (1)


    Datte: 21/04/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: sexag, Source: Xstory

    Avec l’accord de Cloé23 qui nous annonçait la fin de son histoire « La descente aux enfers d’une veuve », je lui ai proposé d’écrire une suite que je vous livre avec son accord :
    
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    Déblocage psychologique d’ANNIE
    
    Petit à petit, Annie entrait psychologiquement dans un monde que son éducation judéo-chrétienne réprouvait d’autant qu’assez pratiquante, il lui arrivait d’aller à confesse pour les grandes occasions. Le reste du temps, elle s’auto confessait avant de recevoir la communion.
    
    Le quasi-viol de Clotilde, sa Patronne, avait eu raison de ses réticences pour en arriver à ce que Nini accepta de lui dire : « oui je jouis... je jouiiiis » et lors de sa première sodomie forcée à l’aide du gode ceinture de répondre à la demande de Clotilde « Tu jouis, Nini ? Tu aimes ? »
    
    — Oui Madame Clotilde. Oh, comme c’est bon ! J’ai honte.
    
    Au fur et à mesure que les jours passaient, elle se rendait compte qu’elle se remémorait ces moments de plaisir et de ses orgasmes avec de moins en moins de répulsion et même qu’elle avait hâte de retourner chez Clotilde. Mais l’idée de voir s’ouvrir un jour les portes de l’enfer la hantait et cette ambivalence de désir de moins en moins refoulée et de culpabilité la mettait très mal à l’aise. Annie se décida d’aller chercher une sorte d’absolution en allant voir le Père Dubois.
    
    Nous sommes samedi, c’est le jour préféré des fidèles qui viennent se confesser pour ...
    ... recevoir la communion du dimanche. Le Père Dubois connaît bien Annie, il la voit les dimanches, c’est lui qui l’avait mariée alors qu’il était tout jeune prêtre de la paroisse et avait suivi l’évolution du couple jusqu’au malheureux décès de l’époux.
    
    La pratique moderne de la confession hors du confessionnal en tête à tête à la sacristie était bien acceptée par Annie d’autant que les péchés à faire pardonner étaient légers.
    
    Cette fois, c’est avec beaucoup d’appréhension que notre femme de ménage de Mme Clotilde faisait face à son confesseur.
    
    Après le signe de croix, le Père Dubois interroge Annie. :
    
    — Alors Annie, que me racontes-tu ? Tu me sembles bien tendue, il n’y a rien de grave ?
    
    — Je ne sais pas, c’est vous qui allez juger, mais j’ai un gros poids sur ma conscience de chrétienne et j’ai besoin de me confier.
    
    — Sois sans crainte, nous nous connaissons depuis longtemps et mon rôle n’est pas de juger. Je suis le représentant de Jésus et je suis là pour t’aider.
    
    — Voilà. J’ai fait le péché de chair. A chaque fois que l’occasion se présentait, je refoulais les avances et les actes, mais à force, je me suis habituée en prenant un malsain plaisir.
    
    — Ce n’est pas très grave, ma petite Annie, tu es malheureusement veuve depuis assez longtemps et il est humain qu’une si belle femme dans la force de l’âge comme toi éprouve des désirs qu’elle ne plus satisfaire maritalement.
    
    — Vous êtes bien bon mon Père, mais la gravité, c’est que c’est avec une autre ...
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