La vérité est ailleurs... (8)
Datte: 11/10/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... deux orifices offerts aux assauts de la plante. Alors les feuilles poussèrent vers son entrejambe, et lui caressaient fente et anus, une petite vrille venant titiller le clitoris. Julie éclatait de rire et gémissait en même temps. Lorsque la petite fente fut bien dilatée, et n’en pouvait plus de dégouliner de cyprine, l’une des feuilles en recueillit, et progressant en mouvements circulaires, les tiges vinrent lubrifier et élargir doucement le petit trou.
Alors, trois grandes tiges fines qui oscillaient, tels des cobras devant sa bouche, son sexe et son anus, se muèrent en autant de fac-similés de verges avec de petits picots sur les côtés. Puis d’un "commun accord", les trois phallus végétaux plongèrent tels des serpents, à l’attaque, vers leurs objectifs... et Julie fut pénétrée en même temps des trois côtés. Un grand soubresaut mobilisa son corps lorsque la triple intromission se fit.
Tony, qui se faisait toujours sucer par ma femme, était comme en extase devant le spectacle impossible dont il était le témoin : sa petite femme chérie, si douce si prude, se faisant “ violer” de tous les côtés par la plante. Julie se faisait limer dans ses trois orifices, de façon assez brutale. Quand elle le pouvait, c’est-à-dire quand le phallus qui investissait sa gorge se retirait comme en position d’attente, elle éructait son plaisir en cris rauques, gémissements et ahanements variés. Elle prononçait aussi des bribes de phrases que son petit mari n’avait pas dû entendre souvent, ...
... dans l’intimité de leur chambre à coucher :
“Ahh ! Ouiiiiii ! Putain, c’est trop bon comme je me fais baiser de tous les côtés... mon Dieu ! Ahhhh !! Oui ! Encore, encule-moi, plus profond. Non, ne te retire pas ... encore dans mon petit cul... mhhummm... dans ma chatte !”
Par moments les phallus végétaux se retiraient de son vagin ou de son rectum, et semblaient attendre les supplications de la belle. Alors comme suivant ses ordres, les pénétrations reprenaient toujours plus profondes et rapides. Je me demandai si Julie, peu au fait de pareilles prouesses sexuelles, allait tenir le choc. Je m’attendais à chaque instant à ce qu’elle demanda grâce, ou ne s’évanouisse. Mais non, la belle reprenait ses gémissements rauques et ses cris de jouissance. Tony, lui aussi se mit à gémir quand il éjacula dans la bouche de ma femme un torrent de sperme, sans doute trop longtemps contenu ! Alors qu’il retirait sa verge de la bouche de ma femme, son mandrin pompait encore des giclées de sperme, qui vinrent barbouiller le visage et la poitrine de celle-ci. Elle se dépêcha de tout récupérer avec sa langue. Ma foi, légèrement atteint d’un soupçon de jalousie, je me disais qu’il aurait quand même pu éviter de se vider dans la gorge de mon épouse. J’espérais bien qu’après l’exploit de sa femme avec son amant végétal, j’allais moi aussi pouvoir occuper la bouche de la belle !
C’est alors que les objets prirent une couleur différente, chaque chose semblait pulser dans la pièce. Les sons ...