1. La vérité est ailleurs... (8)


    Datte: 11/10/2020, Catégories: Divers, Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... déshabiller, un sourire béat aux lèvres. Julie avait déboutonné son jean et s’escrimait à enlever ses chaussures. Cécile qui elle, avait laissé tomber sa robe sur le sol, était déjà nue en bas blancs et porte-jarretelles de la même couleur. Ses seins pointaient, et s’étant mise à genoux devant Julie, elle l’aidait à s’extirper du jean fuseau trop serré. Une fois celui-ci par terre, elle s’attaqua à la petite culotte de coton blanc de son amie. Une belle chatte à la toison non taillée, châtain clair, apparut. Cécile y plongea son visage entourant de ses bras les cuisses de Julie et lui palpant les fesses. Des doigts inquisiteurs plongeaient allègrement dans le sillon fessier, et s’intéressaient à la rondelle sans doute vierge de Julie... plus pour longtemps !
    
    Julie se laissait lécher le sexe par Cécile, tandis qu’elle sentait ma femme introduire ses doigts dans son anus. Elle gémissait de plaisir. Tony, qui s’était lui aussi mis nu, se joignit au couple lesbien, et saisissant les seins de son épouse commença à les malaxer sauvagement, tirant de petites plaintes de douleur de sa petite femme si coincée. Moi, qui regardais le trio de loin, à l’abri des senteurs vénéneuses de la plante, je me dis qu’il ne devait pas lui faire cela souvent... et que le couple allait découvrir beaucoup de choses sur sa sexualité cachée. Je me sentais un peu honteux d’avoir attiré le couple dans un guet-apens grivois, quoique voir Julie à poil, se faire gamahucher par ma femme, et les seins ...
    ... malmenés par son mari avait quelque chose de jouissif !
    
    J’avais hâte de savourer la suite des réjouissances. Je ne mis pas longtemps à attendre... déjà des vrilles sorties de l’amas végétal de la plante se dirigeaient vers le trio. Leur proie était Julie, qui allait bientôt goûter aux plaisirs nouveaux de la "phytophillie"...
    
    Une vrille s’enroula autour du cou de Julie, pendant qu’une autre entourait ses deux cuisses. Idem des poignets de la jeune femme. Cécile, toujours à genoux, regarda son amie doucement attirée vers la plante. Légèrement interloqué, Tony allait la retenir, quand ma femme lui posa une main sur le bras, et saisissant sa verge en érection la rapprocha de sa bouche. Tony observant sa femme escalader le rebord du bac en béton de la plante, se laissa faire. Bientôt, ma femme lui faisait une fellation, l’empêchant d’interférer dans le coït contre nature, dont sa petite femme allait être la victime consentante !
    
    Julie était maintenant nue, offerte debout, les cuisses écartées au milieu de l’amas végétal luxuriant. Déjà, des tiges aux protubérances rondes et bien grosses, se dirigeaient vers son anus et son sexe, tandis que des feuilles larges et des lianes vigoureuses montaient à l’assaut de ses cuisses et de ses bras...
    
    Elle fut alors prise en charge par quatre fortes tiges qui la soulevèrent du sol, et la maintinrent écartelée, les cuisses grandes écartées, le bassin dirigé vers le haut, tandis que son buste était penché vers le bas et l’arrière ; ses ...