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Plan de carrière
Datte: 10/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Falover, Source: Hds
... devienne l’interface auprès de lui pour l’avenir des relations avec l’entreprise. C’était une quasi certitude d’être embauchée et je ne pu cacher mon plaisir d’avoir franchit cette étape en la remerciant de la confiance qu’elle m’accordait. Nous primes congés, sa poignée de main fut franche et je ne pus m’empêcher de penser qu’un homme à sa place n’eu pas été plus direct et plus solide dans son contact. Le mercredi suivant je revins donc ici ou Marie Delaroue m’avait demandé de la rejoindre et après une cordiale salutation nous utilisâmes une des voitures de l’entreprise. Montant à l’arrière de la grosse berline nous pûmes continuer l’entretien de la semaine passée. Le trajet passant par les boulevards extérieurs nous emmenât sur les hauteurs de Meudon. Le chauffeur conduisit la voiture au travers d’un portail qui c’était ouvert à notre arrivée. Remontant une grande allée de gravier blancs nous atteignîmes l’escalier d’une splendide demeure. En haut du perron accueillis par un majordome celui-ci nous introduisit auprès du propriétaire. Marie Delaroue ne m’avait pas trompé dans sa description, il présentait l’aspect d’un homme ayant dépassé la cinquantaine certes, mais dont on devinait qu’il avait été un grand sportif. Des tableaux de chevaux et des accessoires de cavalier parsemés dans le bureau ou nous entrâmes furent une preuve de ce que j’avais deviné. Marie Delaroue et Monsieur X se saluèrent en s’embrassant, ce qui me surprit un peu. J’appris dans l’instant ...
... qu’ils se connaissaient de longue date, puisque tout les deux partageais la même passion pour le polo et pour l’équitation en général, qu’ils avaient, plus jeunes, participés à des concours internationaux, lui en tant que cavalier de polo et elle dans les épreuves de jumping. Sans perdre plus de temps la conversation pris la tournure professionnelle que j’imaginais. Pierre expliqua les diverses tâches que j’aurais à accomplir, ce qu’il attendait que je fasse, insistant comme Marie Delaroue sur l’aspect d’obéissance ou je devais me trouver, ce qui ne me dispensais nullement d’initiatives personnelles, à la condition qu’elles lui conviennent. Cela serait sans doute le plus difficile à appréhender lors des premiers instants de notre collaboration. Pierre en hôte accompli nous invitât à prendre le thé qui fut déposé sur une table du bureau par l’une des bonnes de la maison. Après quelques temps il prit un ton de confiance pour aborder les sujets qui ne souffraient pas de fuites et nous invita Marie Delaroue et moi à entrer dans une pièce attenante au bureau et qui était sécurisée. Il nous indiqua que les murs ne laissait pas échapper le moindre murmure et ou aucun système d’écoute ne pouvait les pénétrer. Cette pièce n’était pas moins bien meublée que le bureau ou nous étions quelques instants plu tôt. Il s’agissait d’ailleurs d’un appartement puisque nous y étions entrés par une sorte de palier distribuant au moins trois pièces différentes. Celle de droite ou nous nous trouvions ...