1. Nos premières vacances à la montagne


    Datte: 10/10/2020, Catégories: 2couples, fbi, jeunes, couple, copains, vacances, boitenuit, danser, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme pénétratio, init, nostalgie, Auteur: Gradiva, Source: Revebebe

    ... applaudir.
    
    Les deux femmes se séparent et viennent nous prendre par la main. Claire se colle à moi en dansant, m’embrasse. Je sens l’odeur d’Arlette sur sa peau, sur ses lèvres. Elle s’écarte légèrement, me regarde dans les yeux avec son sourire canaille et, rapidement, déboutonne ma chemise et me l’enlève. Je sens ses seins effleurer ma poitrine, mais en même temps elle ouvre mon pantalon. Je veux protester, elle glisse sa langue entre mes lèvres. Je regarde l’autre couple : même situation. Nos pantalons tombent à terre. Il y a un problème technique : mon slip est trop court ! Claire passe un doigt mutin :
    
    — Mais tu es mouillé ? Je ne comprends pas pourquoi… dit-elle.
    — Hypocrite ! Tu ne l’es pas ?
    — C’est à voir…
    
    Nous continuons la danse et c’est un plaisir merveilleux de sentir ma chérie contre moi dans cette tenue, de sentir l’odeur de ses cheveux, le grain de sa peau, son corps collé au mien. Elle me chuchote :
    
    — Ma petite culotte me gêne.
    — Tu ne va pas l’enlever ?
    — Non, TU vas me l’enlever.
    — Ici ?
    — Ici.
    — Maintenant ?
    — Maintenant.
    
    Je regarde Jean et Arlette. Les fesses d’Arlette sont nues. Malgré mon trouble dû au comportement de ma femme, je suis pris dans l’ambiance. Je glisse mes doigts sous la dentelle du dernier sous-vêtement de Claire et le roule le long de ses jambes. Son adorable toison apparaît, je me retiens d’y poser ma bouche. Avant de lancer la boule de dentelle, je fais un contrôle : mouillée ? Non : trempée.
    
    — Je vais ...
    ... commencer à être jaloux d’Arlette, j’ai l’impression qu’elle te fait plus d’effet que moi !
    — Idiot chéri, me dit-elle en effleurant mes lèvres.
    
    Je caresse ses fesses sans être gêné par une bande de tissu. La musique est toujours aussi présente.
    
    — À toi, maintenant.
    — Mais…
    
    Un regard à l’autre couple m’apprend que nous sommes nus tous les quatre, à part les bas des femmes. Maintenant, je danse avec un serpent qui ondule, se frotte, fait rouler mon sexe entre nos deux ventres. Notre excitation augmente de voir, d’être vus par nos amis. Arlette se rapproche en dansant et vient se coller sur le dos de Claire. Je sens la peau d’Arlette sur mes mains, je les retire mais les mains de Jean passent d’Arlette à Claire ! Une pointe de jalousie me donne l’envie de repousser les intruses, mais je vois que Claire ne se dégage pas et je caresse aussi Arlette. De passer d’un corps à l’autre donne une sensation affolante. Je vais exploser, ce sont vraiment des diablesses. Je regarde Jean. Dans son regard, je vois qu’il pense la même chose.
    
    Doucement Arlette se dégage, se tourne vers nous, nous sépare et m’enlace. Claire danse avec Jean. Danser nu avec la femme de son ami n’est pas désagréable. Mais maintenant, ce n’est plus une pointe de jalousie que je ressens de voir Claire dans les bras de Jean, une angoisse me prend à l’estomac. Je repousse délicatement ma partenaire et reprends ma Claire dans mes bras. Ouf ! Je me sens mieux. Je crois que ma femme l’a ressenti, elle est encore ...
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