1. Nos premières vacances à la montagne


    Datte: 10/10/2020, Catégories: 2couples, fbi, jeunes, couple, copains, vacances, boitenuit, danser, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme pénétratio, init, nostalgie, Auteur: Gradiva, Source: Revebebe

    ... elle par derrière, d’embrasser le duvet à la lisière de ses cheveux en prenant ses seins qui avaient la taille parfaite de mes mains, d’appuyer la pointe de ma langue derrière le lobe si fin de ses oreilles, de passer une main sur la chair de poule de sa cuisse pour contrôler l’effet de mes lèvres et de ma langue à la base de son cou, de lui caresser le ventre, de m’aventurer perfidement jusqu’à sa toison en me frottant sur ses fesses. Arrivé à ce point, en général, elle m’entraînait sur le divan ou dans la chambre.
    
    Pendant nos conversations, nous nous rappelions les bons moments passés avec les montagnards. Claire me racontait les tours que les deux amies faisaient. Arlette, petite brune et pétillante, devait entraîner ma femme, plus réservée. Mais une fois sortie de sa réserve, ma chérie pouvait être redoutable.
    
    Nous avions été prévenus que, le studio étant tout petit, nous aurions la (petite) chambre de Nicolas, le fiston mis en pension chez ses grands-parents le temps de notre séjour.
    
    Quelques mois de travail et quelques achats avant le grand départ, et nous y voilà, après des heures de routes, heureux de retrouver des amis de longue date.
    
    Les deux femmes tombèrent dans les bras l’une de l’autre.
    
    — Vous avez fait bon voyage ?
    — Sans problème, mais dis-moi, Jean, tu t’es enveloppé ! Ce sont les petits plats d’Arlette ?
    — Comme tu le vois ! Mais toi, Fred, tu es toujours aussi maigre ! La cuisine de Claire ne doit pas être si bonne…
    — Je ne suis pas ...
    ... maigre mais musclé ! Nuance. Et pour la cuisine de Claire, attends un peu…
    
    L’appartement était petit, effectivement : un lit et une armoire dans la chambre, un lit dans le séjour, une cuisine pour une personne. Nous n’avons jamais su comment les deux femmes réussissaient à se préparer ensemble sans laisser la porte de la salle de bain ouverte. Une dans le bac de douche ? La baie vitrée de la salle de séjour ouvrait sur les pistes et le décor des montagnes était grandiose. Le blanc de la neige, le sombre des forêts de sapin et le découpage des cimes sur le ciel d’un bleu profond me surprenaient toujours, moi qui étais habitué à mes côtes bretonnes.
    
    Dès le lendemain, nous sommes allés nous équiper dans la boutique d’Arlette et je pris mes premières leçons avec Jean, moniteur de ski à la station. Claire et Arlette nous abandonnèrent après mes premières culbutes pour aller sur les pistes.
    
    Pas triste, pour arriver à tenir debout et à avancer sur des planches glissantes et qui ne veulent pas aller où l’on veut ! Le plus désagréable est de se retrouver sur le dos, la tête dans le sens de la descente et la neige qui entre dans le cou. Heureusement, mon moniteur particulier avait une patience d’ange. Nos deux femmes venaient contrôler les progrès à chaque descente. J’avais l’impression qu’elles se moquaient de moi ! Je ne sais pas ce que les chutes ont de risible.
    
    Nous entraînions Jean et Arlette dans notre climat de vacances : pauses thé sur les pistes, sorties aux ...
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