1. Nos premières vacances à la montagne


    Datte: 10/10/2020, Catégories: 2couples, fbi, jeunes, couple, copains, vacances, boitenuit, danser, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme pénétratio, init, nostalgie, Auteur: Gradiva, Source: Revebebe

    ... restaurants.
    
    Après nos exploits sportifs, nous prenions une bonne douche et ensuite l’apéritif avant de passer à table ou de sortir. Dans un studio aussi petit pour quatre adultes, les frôlements étaient inévitables. Au début c’est un peu gênant, mais on ne peut pas demander pardon dix fois dans la journée et viennent les plaisanteries :
    
    — Tu prends trop de place !
    — Tu vois bien que tu as les fesses trop grosses !
    — Je vais commencer à penser que tu le fais exprès…
    — Ne te frotte pas comme ça, tu deviens indécent(e)…
    
    La nuit, après nos démonstrations culinaires et les conversations, les moments d’intimités sous la couette étaient amusants : les cloisons étant fines dans les constructions modernes, nous suivions la progression de l’action dans la salle de séjour comme ils le faisaient de leur côté.
    
    Au petit-déjeuner, les sourires précédaient les commentaires :
    
    — Apparemment, ce n’était pas mal hier soir !
    — Fred est en progrès, ça a duré plus longtemps cette fois !
    — Il y a eu un temps mort, chez vous, je ne vous parlerais pas de nos spéculations…
    
    Le tout avec des regards entendus.
    
    Le quatrième ou cinquième jour de notre séjour, après le restaurant, nous sommes allés dans une boîte de nuit. Fauteuils confortables, musique agréable pas trop forte et pas à la dernière mode, éclairage étudié :la boîte de nuit comme il devrait y en avoir beaucoup plus. Plaisir des conversations sans crier, boissons, danses, une ambiance chaleureuse.
    
    Les deux copines ...
    ... bavardaient beaucoup entre elles mais nous n’entendions que les éclats de rire. C’était plaisant de voir la frimousse d’Arlette toujours avec le sourire, les yeux pétillants, son nez retroussé, les cheveux bruns courts, habillée d’une robe ajustée pour mettre sa poitrine en valeur, et le contraste avec Claire, l’air plus tranquille avec ses lunettes, ses yeux verts et ses cheveux châtain mi-longs, son tailleur et son chemisier blanc. Pour son travail elle faisait sérieuse, mais ce soir-là, elle avait oublié ses chiffres.
    
    — Dis-moi, Jean, que mijotent ces deux-là ?
    — Je ne sais pas, elles ont l’air de bien s’amuser, mais tu sais il ne faut jamais laisser deux femmes ensemble, c’est toujours mauvais pour nous.
    
    Nous étions curieux de savoir ce qu’elles se disaient, d’autant que par moments, elles nous regardaient en riant franchement. Nous avions rapidement remarqué qu’elles choisissaient leurs maris respectifs une fois sur deux pour danser.
    
    Quand je dansais avec Claire, je posais des questions sur ce qui était si drôle dans leurs conversations. Les femmes ont une facilité de changer de sujet ou de répondre avec un sourire ou un petit bisou ! Je profitais du plaisir de danser tendrement avec mon amour, de sentir son corps contre le mien, d’être pénétré de son odeur, de l’embrasser amoureusement et de savoir que tous ces sentiments étaient partagés.
    
    Ma curiosité avec Arlette n’avait pas plus de succès mais j’étais surpris par sa façon de danser avec moi : se coller ...
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