1. La main verte


    Datte: 09/10/2020, Catégories: fh, extracon, jardin, fdomine, Oral pénétratio, fsodo, extraconj, Auteur: Caroline, Source: Revebebe

    ... doigts tant espérés me font bien plus d’effet qu’ils ne devraient, et j’ai du mal à conserver ma respiration.
    
    Ouvrant les yeux pour reprendre le contrôle, je découvre de nouveau la forme inhabituelle de son pantalon, ce qui a pour effet d’augmenter mon émoi.
    
    J’entrouvre un peu plus mes cuisses afin d’accorder à sa main un peu plus de liberté, et celle-ci en use immédiatement. Ses doigts, d’abord timides, deviennent inquisiteurs, et commencent à dessiner le contour de mes lèvres ouvertes, glissent sur leur pourtour avant de plonger en moi ! Sans manière, je sens ses doigts m’investir sans vergogne, plongeant puis sortant de mon sexe surchauffé.
    
    C’est un déluge de sensations qui m’envahit, l’incongruité de la situation, son caractère inhabituel tout autant que l’attente dans laquelle je me morfondais, décuplent le plaisir que me procurent ces doigts maladroits et brusques.
    
    Je me sens sur le point de défaillir, et il s’en faut de peu que je cède à un premier orgasme. Reprenant mes esprits, j’ouvre de nouveau les yeux, et ne peux cette fois résister plus longtemps : ma main monte vers l’objet de mon désir, je saisis à travers la toile épaisse, sa queue si tendue, et commence à la masser abruptement.
    
    Immédiatement, ses caresses cessent, sa main reste inerte sur ma chatte tout excitée, alors que je le branle sans ménagement. De ma main libre, je dégage son pantalon pour découvrir son sexe palpitant.
    
    Je ne peux attendre, j’engloutis tant bien que mal son engin, et ...
    ... profite avec délectation de celui-ci. Ce contact fait surgir en moi toute l’impatience que j’avais de goûter de nouveau à cet instant. Le plaisir de la chair n’est pas anodin, et je goûte avec joie cet instant.
    
    Sa verge me plait, la goûter me plait, ma langue joue avec comme quelqu’un que l’on a trop longtemps privé de son jouet. Ce contact à nul autre pareil… hmm, j’adore.
    
    À tel point, qu’il me faut un moment pour me rendre compte que je suis plus à mon plaisir qu’au sien, mais aux tressaillements de son sexe, je me rassure en confirmant qu’il n’a pas boudé son plaisir.
    
    Je ne peux en rester là, et d’une main ferme, dirige son sexe vers mon con désespérément détrempé. Passant ses jambes de part et d’autre du rocking-chair, il m’aide à présenter son sexe à l’orée de mon puits. Et entre sans ménagement !
    
    Je ne peux retenir un hoquet de surprise lorsqu’il s’enfonce ainsi en moi sans égard. Je suis empalée sans ultimatum, et il me faut quelques instants avant que les vagues de plaisir qui affluent de mon ventre ne prennent le pas sur mon ébahissement.
    
    Il me transperce à l’envi, et ses coups de boutoir effrénés provoquent des ondes de bonheur qui me saturent. Je ne maîtrise plus rien du tout, il est en moi, complètement en moi, c’est ça, j’ai l’impression de ne plus m’appartenir.
    
    Ses va-et-vient redoublent de vigueur, et m’emportent sans ménagement vers des espaces restés vierges depuis trop longtemps. Je suis dépassée, et me laisse m’évader dans cet état de semi ...
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