1. Après les "Boums"


    Datte: 09/10/2020, Catégories: ffh, campagne, amour, Oral pénétratio, fdanus, nostalgie, prememois, couple+f, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... pour venir déshabiller ma maîtresse. C’est aussi un moment magique. Elle s’abandonne totalement et j’en suis heureuse. Chaque bouton du chemisier est un régal. Le tissu s’entrouvre à chaque étape, livrant à mon regard cette peau de blonde, dorée par le soleil de ce printemps avancé. Qu’ils ont de la chance ces provinciaux que la nature accueille dès la sortie de la ville, sans ces banlieues interminables ! Il suffit d’un vélo et chaque rivière, chaque étang se transforme en plage.
    
    Martine a bien goûté de ce soleil car même sa poitrine est dorée. Aucune marque disgracieuse ne perturbe l’harmonie de la peau bronzée. Les tétons ne s’en détachent que plus avec des aréoles sombres et larges.
    
    Elle se laisse faire, se livrant à mes caresses, yeux fermés, attentive et réceptive. Lorsque ma bouche s’empare d’un téton, elle gémit mais je continue mon chemin. Je suis agenouillée pour découvrir maintenant le spectacle de sa beauté dénudée. La jupe descend sans remords et j’ai sous les yeux la petite culotte, blanche et sage où cependant une tache révèle l’excitation de la belle.
    
    Les hommes ne savent pas, comme nous les femmes, profiter de la lente découverte du pubis encore inconnu alors que nos doigts délicats se saisissent des fins élastiques pour les tendre et les tirer vers le bas. Là aussi, la peau est dorée, puis quelques poils bien taillés apparaissent, juste dans l’axe de la fente qui semble bailler et s’ouvrir dès que la pression du tissu disparaît.
    
    Il me suffit de ...
    ... la pousser pour que Martine se laisse aller sur le lit, lit campagnard si haut que mon visage se retrouve juste à la hauteur de son intimité. Tout naturellement mes épaules viennent servir d’appui à ses cuisses et je savoure un instant le triangle charmant, à peine marqué par un duvet de blonde. Tout en glissant mes mains sous ses fesses, l’incitant à se cambrer, je plonge mon visage entre les cuisses, respirant cette odeur si caractéristique des humidités et des sucs féminins, avec juste cette âcreté que j’aime tant. Je tends ma langue et entreprends de la lécher, de la chatte à l’anus, montant et descendant sans me lasser, tout en abandonnant des ruisseaux de salive.
    
    Elle geint doucement, chatte qui miaule sous la caresse tout en se cambrant encore plus, soulevant ses fesses du lit afin de m’offrir encore plus ses intimes secrets. Je la dévore goulûment. C’est bon. Son clitoris est maintenant une pointe érigée et dure, complètement découverte de sa protection de chair. Le sucer est un délice pour elle comme pour moi. Sentir ce petit sexe fébrile entre mes lèvres vaut toutes les fellations. Elle se tortille et je sais en tant que femme, qu’il ne faudrait pas longtemps pour qu’elle jouisse de cette simple caresse. Elle remue tellement que le lit semble vibrer et onduler.
    
    En réalité je découvre que c’est Daniel qui est venu apporter sa contribution à la scène. Il est à côté de sa femme, penché sur sa poitrine et la caresse de la bouche et des doigts. Mari attentionné, ...