Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (1)
Datte: 08/10/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... librement, il nous fallait certaines conditions. Elle s’était proposé d’emblée de garder les enfants, d’autant plus qu’elle adore ses petites-filles.
Elle eut l’habileté de faire croire que ce n’était pas Philippe qui l’avait informé de mon adultère. Son intervention n’eut pas les effets escomptés, au contraire. Elle cherchait à me raisonner en me rappelant mes devoirs vis-à-vis de mes enfants. Je n’avais pas envie, pour le moment, d’entendre ces arguments, je voulais vivre pleinement ces quelques jours de rêve. Du coup, notre conversation téléphonique s’est très mal finie, amenant de part et d’autre à ressortir le passé. Bref, je lui ai raccroché au nez, après m’être fait traitée de putain.
Celle qui m’ébranla, à ce stade, fut Agun. Je m’en veux particulièrement, toute à ma passion pour N., d’avoir oublié non seulement Philippe, mais aussi ma fidèle compagne. Alors que, quand nous ne sommes pas ensemble, nous échangeons messages et appels téléphoniques plusieurs fois par jour, je n’avais pas donné signe de vie depuis que je m’étais donnée à N.
Agun, après avoir vérifié avec Philippe, comprit qu’il se passait quelque chose de grave. Elle réussit à me joindre :
• Olga, mon amour, j’étais folle d’inquiétude. Enfin ! Que se passe-t-il ?
• Ma chérie, il m’est arrivé une chose que je ne pensais plus possible : je suis tombée follement amoureuse d’un autre homme.
Je lui ai parlé de N., comment je l’avais rencontré, je ne cachais aucun détail à Agun.
• Tu vas ...
... faire quoi, Olga ? Vivre avec N ? Quitter Philippe, me quitter ?
• Je n’ai pas oublié la promesse que je t’ai faite, quand tu es revenue en France il y a deux ans (en 2014), celle de ne jamais te quitter.
• Je n’ai pas oublié. Sache seulement que, même si ça doit me briser le cœur, tu es libre de tes choix, tu n’as pas de chaines avec moi.
• Je vais rentrer, ne t’inquiète pas mon amour. Je t’aime !
N. avait surpris la fin de notre conversation et me fit une scène de jalousie. Je lui ai expliqué qui était Agun et notre histoire.
• Je savais que tu étais bisexuelle et je n’ai rien contre, au contraire, que tu pratiques les mystères de Lesbos. Par contre, que les choses soient claires : tu es désormais à moi et je ne te partagerai ni avec ton cocu, ni avec ta gouine thaïlandaise !
Je suis devenue pâle :
• Je t’interdis de parler comme ça de Philippe et d’Agun !
• Tu fais comme tu veux, c’est toi qui choisis.
En larmes, je rassemble mes affaires et je vais à la chambre de Philippe. Heureusement, il est seul et essaie de cacher sa surprise de me voir de retour. Il voit que j’ai pleuré et s’approche, pour me prendre dans ses bras, me consoler. Je le repousse brutalement :
• Laisse-moi, tu veux ? Et surtout ne dis-rien !
Le lendemain, c’est le voyage retour. Nous retrouvons les filles à l’aéroport. Ambiance glaciale avec ma mère, qui ne m’adresse pas la parole.
A notre arrivée en France, cette ambiance sinistre perdure. Je suis meurtrie par la ...