1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (1)


    Datte: 08/10/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... le bureau », paru le 29 novembre 2018) et, plus grave pour ses conséquences, celui de Philippe avec une jeune femme, Ambre, rencontrée lors d’un séjour de vacances. Si Philippe avait, comme je l’avais exigé, rompu avec celle-ci, j’avais vécu cela comme une véritable trahison et la plaie n’était pas refermée. Cette affaire n’excuse pas mon comportement, mais l’explique largement. Sans même m’en rendre compte, je voulais faire payer à Philippe sa « trahison ».
    
    AU DEPART UNE AVENTURE PARMI D’AUTRES ?
    
    J’ai parlé, dans « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (17) : plage, mer et dunes », paru sur HdS le 25 février 2017, de cette rencontre avec N, faite sur une plage grecque, à l’été 2016. J’avais suivi cet homme dans les dunes où il m’avait baisée comme je l’avais rarement été, malgré ma longue expérience et le nombre d’amants qui m’ont honoré depuis que j’ai été déflorée.
    
    N. est un bel homme, très grand, sportif, musclé, viril, grisonnant, il avait à l’époque 55 ans, c’est-à-dire un âge comparable à celui de Philippe, mais il était très différent de mon mari.
    
    Il était le type du mâle viril, dominateur, macho, particulièrement susceptible de me plaire.
    
    La façon qu’il avait eu de me mater sur la plage, de me faire comprendre qu’il me voulait, avait mis le feu en moi. Ce type affichait une érection que son maillot cachait très difficilement. En connaisseuse, je savais qu’il avait un calibre comparable à celui de Rachid ou d’Hassan. Il ...
    ... s’était enhardi jusqu’à descendre un instant son slip de bain pour exhiber une superbe verge circoncise, avec un large gland et des couilles lourdes. Je n’avais pas eu besoin de parler pour qu’il comprenne que j’étais consentante, un sourire et un échange de regards avaient suffi pour aller plus loin.
    
    En théorie, nous étions dans un cadre candauliste, puisque Philippe nous avait retrouvés dans les dunes et avait assisté à l’apothéose finale, le moment où N., en présence de Philippe et d’autres spectateurs, avait longuement éjaculé en moi, me laissant brisée de plaisir.
    
    Dans la réalité, nous étions déjà sortis du candaulisme. C’était autre chose : un adultère.
    
    J’ai raconté, dans ce récit, comment N. m’avait dragué, profitant du fait que Philippe s’était endormi profondément, comment il m’avait entrainé dans l’eau, pour commencer à me baiser, puis il m’avait entrainée vers les dunes, me tenant la main, m’embrassant, m’exhibant nue, afin que nul n’ignore ce que nous allions faire.
    
    A aucun moment, contrairement à nos conventions, je ne m’étais préoccupée d’obtenir le feu vert de Philippe. Quand N. m’a proposé d’aller à la mer, je me suis contentée de laisser un papier à Philippe pour lui dire que j’étais allée « nager »
    
    Et si Philippe avait été présent dans les dunes pour être le témoin de notre coït, c’est uniquement parce qu’il était parti à ma recherche et m’avait retrouvé, subissant au passage les quolibets de certains qui avaient été témoins de la façon dont N, en ...
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