Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (1)
Datte: 08/10/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... sortant de l’eau avec moi, s’était comporté, ne cachant pas ce que nous allions faire dans la pinède.
A aucun moment, je le répète, je ne m’étais préoccupée de Philippe, je ne pensais plus qu’à me faire baiser par ce type dont j’avais follement envie.
N. était en train de me prendre quand j’ai vu Philippe parmi les spectateurs qui avaient été attirés par la façon dont N m’avait exhibé ou encore par mes cris, mes hurlements de plaisir. Philippe tenait par la main Théodora, une jeune femme que j’avais rencontrée sur la plage peu auparavant, qui avait été témoin et excitée par mon comportement avec N et qui avait aidé Philippe à retrouver notre trace.
En temps ordinaire, le seul fait qu’elle prenne la main de Philippe m’aurait fait réagir avec virulence. A ce moment précis, je m’enfichais totalement, ne pensant qu’à m’offrir à cet homme que je ne connaissais pas une heure auparavant.
Je me suis contentée de dire à Philippe :
• Chéri, je suis content que tu sois là, car je suis en train de te tromper. Ce type est un baiseur exceptionnel, de la race des Rachid, des Hassan, tu comprends ce que ça veut dire. Je m’offre complétement à lui, je suis sa femelle.
Ces paroles n’étaient pas anodines, en particulier la référence à Rachid et à Hassan. Même si Philippe était présent, si « techniquement », nous étions dans un cadre candauliste, il s’agissait en fait d’un adultère. Je ne cachais pas à Philippe que je le trompais, que je m’offrais « complétement » à cet ...
... homme, que je devenais sa femelle, comme j’avais été celle de Rachid, puis d’Hassan.
Philippe n’a pas réagi. Il a continué, pour sa part, à se placer dans un cadre candauliste. J’ai cru revenir près de dix ans en arrière, à l’époque de Rachid, où Philippe acceptait tout, y compris qu’un autre me féconde.
Il savait comme moi que j’étais en période « favorable », que je ne prenais aucune précaution. Il avait vu que N me prenait sans préservatif et savait qu’en m’offrant complétement, je voulais que mon amant se vide en moi. Philippe l’a confirmé ainsi :
• Vas-y ma chérie, je veux que tu sois heureuse et je ne suis pas inquiet. Tu es encore plus belle et chaude quand tu es enceinte. Et toi, baise-la comme il faut, mon épouse est exceptionnelle.
N. variait les positions, je lui frappais les fesses, lui me pressait les seins, me tapait les cuisses, m’embrassait.
N me dit que je suis son Aphrodite, son hétaïre. Nos paroles sont dans ma langue natale, mais je sais que Philippe comprend, mais ne réagit pas, semblant ne pas comprendre ce qui est en train de se passer : je m’offre à ce moment-là corps et âme à N.
Pendant que N m’envoyait en l’air, je ne pensais qu’au plaisir inouï qu’il me donnait.
Je n’ai pas réagi quand j’ai vu cette petite Théodora, sans doute émoustillée par le spectacle, descendre le maillot de Philippe et le prendre en bouche. Loin de m’en offusquer, je les ai encouragés à aller plus loin, incitant Philippe à faire l’amour à cette jeune ...