1. Cousin-cousine


    Datte: 08/10/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, Inceste / Tabou poilu(e)s, vacances, amour, cérébral, revede, BDSM / Fétichisme confession, Auteur: Lacan, Source: Revebebe

    ... ne bougeais pas, le cœur battant.
    
    Maintenant elle élevait la main pour saisir un livre et je pouvais comme en été contempler son bras nu et son aisselle. Puis elle le reposa et se déplaça pour aller explorer une autre partie des rayonnages, et ce faisant se retrouva soudain hors de l’abri du buffet et je la vis en entier, de dos.
    
    Et là, quel choc !
    
    La partie en dentelle ne couvrait en fait que le haut des épaules et tout le reste de sa chemise de nuit descendant jusqu’aux chevilles était transparent et elle était nue là-dessous ! C’était un tissu comparable à un voilage de fenêtre, ne cachant vraiment rien, et le souffle court, je pouvais à loisir contempler sa chute de reins, sa croupe somptueuse, ses fesses charnues, ses cuisses.
    
    La vision précise de sa raie des fesses me déclencha des pensées lubriques, car j’y rêvais fort dans mes moments excités. À l’époque, je n’avais que des idées assez imprécises sur le côté face, sur les replis de cette intimité des dames, baptisée savamment « vulve » dans le Larousse médical du domicile familial. Mais côté fesses, je pouvais imaginer ce qui se cachait entre ces deux globes, qui devait ressembler à ce que j’avais déjà réussi à contempler dans un miroir. Un œillet brun et plissé, le mien, bien sûr, que j’aimais déjà titiller et caresser, et même y insérer un doigt fureteur dans des moments très chauds où j’allais jusqu’à imaginer parfois me faire prendre par le désir d’un autre mâle…
    
    N’osant remuer, je retenais mon ...
    ... souffle devant l’incroyable impudeur de cette nudité, de cette transparence, qui dépassait mes rêves les plus fous, elle s’exhibait encore mieux que toute nue devant moi… Le bras levé pour déplacer des livres, elle se présentait maintenant un peu de profil et je pouvais distinguer la forme de son sein droit, lourd et un peu tremblotant quand elle se déplaçait.
    
    Surexcité, les joues en feu, je me sentais pris dans un terrible dilemme.
    
    Non, il ne fallait surtout pas qu’elle se retourne, qu’elle me découvre ainsi comme un voyeur que j’étais. Non, vite, qu’elle reparte ! Elle ne saurait jamais que j’avais vu son cul nu, et son image, qui ne s’effacerait plus de ma mémoire, pourrait peupler longtemps mes fantasmes.
    
    Mais non, pas du tout ! Qu’elle se retourne, bon sang ! J’en avais trop envie, de la voir par-devant, avec cette incroyable chemise de nuit qui allait me révéler son corps, ses seins, son sexe, sa toison intime, son triangle magique. Il aurait suffi que je bouge ou que je tousse pour cela, mais comme paralysé, je me révélais incapable de le faire, de décider.
    
    Elle avait fait son choix et pris un livre, elle allait se retirer dans sa chambre, elle se tournait vers la porte. Je la vis alors de profil, avec ses gros seins pointus et remuants, dont le bout sombre dardait en tendant la légère étoffe. J’en distinguais enfin la forme, que des puristes auraient trouvé tombante, mais magnifique et excitante pour moi.
    
    Il se passa alors ce que je n’avais pas prévu, un ...
«12...789...12»