1. Cousin-cousine


    Datte: 08/10/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, Inceste / Tabou poilu(e)s, vacances, amour, cérébral, revede, BDSM / Fétichisme confession, Auteur: Lacan, Source: Revebebe

    ... conjugal, qui pousse des maris à montrer nues leurs épouses sur des sites internet afin qu’elles excitent le plus grand nombre, en y prenant elles-mêmes un vrai plaisir ? Pour mon cas personnel, surtout pas, je me bornerai toujours à l’imaginaire.
    
    Mais je m’égare, et revenons à mes aventures de jeunesse, à ce séjour chez ces cousins éloignés. Oui, elle, dans mon souvenir, une grande et belle femme, non loin de la cinquantaine, aux formes pleines et voluptueuses, mais avec un visage assez mutin pour lui donner un air juvénile, contrastant avec son statut de dame mûre.
    
    Au cours de ces vacances, quand je l’accompagnais parfois pour des courses, j’avais repéré que les hommes se retournaient sur elle dans la rue, pour contempler avec quelque insistance ses jolies jambes et son postérieur, ce qui me rendait fier de me trouver à son côté, oui, elle était quand même un peu à moi, plus qu’à eux. Eux aussi fantasmaient-ils sur elle, en faisant leur petite affaire tout seuls ou bien quand ils honoraient leur propre femme ? Je les voyais suivre des yeux la démarche de l’élégante bourgeoise au corps épanoui, aux cheveux blonds ondulés selon la mode de l’époque. Plus châtains que blonds en réalité, mais éclaircis par le coiffeur d’un fin réseau de mèches claires. Un balayage qui adoucissait son visage, rehaussé de beaux sourcils sombres, et la faisait paraître plus jeune, à mes yeux admiratifs tout au moins.
    
    Dommage pour ce séjour chez elle, nous n’étions pas en été. Je n’allais ...
    ... pas la voir évoluer dans des robes légères, découvrant ses bras un peu en chair, qui me donnaient plus d’idées que ceux, plutôt maigrichons, des filles de mon âge. J’aurais voulu pouvoir en caresser la peau douce, en palper, en presser la fermeté, en respirer le parfum, y promener ma bouche, oser savourer sa peau. À la belle saison, les robes sans manches procuraient aussi le loisir de jeter un œil furtif à ses aisselles, guettant des pilosités qui y auraient repoussé, me donnant ainsi l’impression d’accéder à une troublante et secrète intimité, que j’imaginais moite et parfumée, et que j’aurais aimé flairer et même goûter, comme un animal en rut…
    
    Il faut dire qu’à cette époque de nos célèbres trente glorieuses, encore bénie au plan de la croissance économique, les canons de la beauté étaient différents de ceux que nous connaissons aujourd’hui. La mode des aisselles lisses ne s’était pas encore imposée à toutes dans l’hexagone, au contraire des contrées anglo-saxonnes et scandinaves. Une plaisanterie courait alors sur la différence entre les femmes françaises et allemandes, dans cette période d’insouciance et de libération des mœurs. C’était simple, les allemandes avaient les aisselles rasées et les jambes poilues, et les françaises, c’était l’inverse…
    
    On pouvait donc dans l’hexagone avoir l’occasion de contempler une partie de la pilosité de ces dames, qu’elles exhibaient sous leurs bras en été, plus ou moins émondée ou domestiquée, mais qui pouvait donner des idées ...
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