1. Cousin-cousine


    Datte: 08/10/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, Inceste / Tabou poilu(e)s, vacances, amour, cérébral, revede, BDSM / Fétichisme confession, Auteur: Lacan, Source: Revebebe

    ... genre, dont je pourrais faire le même usage, en poussant plus loin l’exploration de son intimité ? En utilisant ce bout de tissu imprégné de l’odeur, du goût de la femme, pour le comparer à celui de mes propres sécrétions dégustées dans mes instants d’excitation…
    
    Mais non, adieu veau, vache, cochon, culotte, dommage, aucune autre lingerie froufroutante que j’aurais aimé découvrir, tripoter, caresser. Pas le moindre slip ou même porte-jarretelles, à une époque où les collants n’existaient pas. J’avais donc redévalé les escaliers le livre à la main, encore émoustillé, tentant de cacher mon trouble. Je devais être tout rouge, avec une angoisse, dans ma précipitation avais-je bien remis sur la chaise l’objet de mes concupiscences, tel qu’il y était posé ? N’allait-elle pas rapprocher son nouvel emplacement de ma visite dans ses appartements privés, comprendre mon indécente curiosité, percer à jour mes désirs ?
    
    Quand je me trouvais près d’elle, sa présence, son parfum me troublaient, et resté seul, je rêvais à des scénarios plus improbables les uns que les autres. Parfois très sentimentaux, où j’aurais pu juste lui tenir la main, et embrasser chastement sa bouche. Comme dans un bonjour en lui faisant la bise, où je pouvais sentir le velouté parfumé de sa joue contre la mienne, dans une troublante proximité de ses lèvres, dont j’aurais voulu savourer la douceur en un tendre flirt imaginaire, et pourquoi pas le frétillement d’une langue coquine, le goût de sa salive !
    
    Mais ...
    ... le plus souvent ce n’étaient qu’histoires torrides que mon imagination excitée inventait, lâchant la bride à mes fantasmes. Des scènes où avec autorité elle me traiterait en jeune esclave pour m’initier à donner du plaisir à la femme, en m’apprenant tout, guidant mes mains et ma bouche sur son corps. Ou à l’inverse, des scènes folles de soumission, où je lui imposerais mes caprices les plus insensés, et où suppliante et devant s’exhiber devant des inconnus, elle finirait par m’obéir et docile, se laisserait posséder en criant son plaisir.
    
    Il y avait un scénario qui revenait de manière récurrente, plus proche des réalités quotidiennes. Elle viendrait me réveiller le matin en rejetant d’un coup le drap et les couvertures sous lesquels je serais resté caché, fantasmant déjà sur elle au réveil. Et là, me découvrant pyjama baissé, nu de la ceinture aux genoux dans un état ne laissant aucun doute, elle m’écouterait la supplier de ne pas me laisser là en plan. Et pour finir, elle accéderait gentiment à ma demande, de m’aider de sa jolie main à conclure ma petite affaire. Je l’imaginais me décalottant délicatement de ses doigts experts pour ensuite me faire un délicieux va-et-vient sur mon gland tout coulant, jusqu’à ce que, cambrant mes reins sous ses yeux dans un violent orgasme et lui exhibant ainsi mon plaisir en gémissant, j’inonderais mon ventre des longues giclées du trop-plein de mon désir. Et pourquoi pas avec son autre main passée sous sa chemise de nuit, dans l’intimité ...
«1...345...12»